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ent le Danemark à l’Écosse sont recouverts par la
mer
du Nord. Partis de l’Asie Mineure et de l’Égée, des colons remontent
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s de l’Ukraine, les rives de la Baltique et de la
mer
du Nord, enfin la vallée du Rhin et la Belgique, poussant jusqu’à la
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t lentement. Un autre courant de colons venus par
mer
des rives de l’Égypte et du Proche-Orient, remonte peu à peu l’Italie
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iterranée du Nord que constituent la Baltique, la
mer
du Nord et la Manche.1 Aux approches du dernier millénaire avant no
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nsée, l’art et les lois de ces deux peuples de la
mer
du Sud, mystérieusement inaccessible aux Celtes. La conquête de la Ga
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urs ; elles gagnèrent les prairies voisines de la
mer
, qui étaient le lieu de réunion habituel de leur troupe, charmées par
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s de la plaine salée, comme si elle eût nagé ; la
mer
était faite de métal azuré. Haut placés, deux hommes se tenaient debo
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utre ; ils regardaient la vache qui traversait la
mer
. Il y avait aussi Zeus fils de Cronos, effleurant doucement de la mai
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evant celle qu’il voulait, et gagna rapidement la
mer
. Europé, se retournant en arrière, appelait ses compagnes et leur ten
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la vaste étendue des vagues. Sur son passage, la
mer
se faisait calme ; les énormes poissons, alentour, s’ébattaient devan
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ssemblaient les tritons, bruyants musiciens de la
mer
; soufflant dans de longs coquillages, ils faisaient retentir le chan
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elle, il ne fût mouillé par l’onde immense de la
mer
blanchissante. Aux épaules, le péplos d’Europé se gonfla en une poche
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e escarpée, rien que le ciel en haut et en bas la
mer
sans limites. Alors, promenant autour d’elle ses regards, elle fit en
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hent en tournant les pieds, et ne pas craindre la
mer
? Ce sont les navires qui courent sur la mer, les navires prompts à f
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e la mer ? Ce sont les navires qui courent sur la
mer
, les navires prompts à fendre les flots ; mais les taureaux ont peur
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e circulent pas sur terre, ni les taureaux sur la
mer
; toi, tu bondis sans peur et sur terre et sur mer, et tes sabots te
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er ; toi, tu bondis sans peur et sur terre et sur
mer
, et tes sabots te tiennent lieu de rames. Bientôt, je pense, tu vas t
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, errante et solitaire. Mais toi, souverain de la
mer
blanchissante, branleur de la terre, montre-toi pour moi bienveillant
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toi, jeune fille ; ne crains pas les vagues de la
mer
; je suis Zeus en personne, bien que, de près, j’aie l’air d’être un
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ige, Europe, devant les monstres pullulant sur la
mer
et les pièges qui l’environnaient, pâlit de son audace. Elle qui, nag
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e et coupée, des limites naturelles ; entourée de
mers
, baignée de golfes profonds, elle tenait un heureux milieu entre l’hi
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les ardeurs de l’Égypte. Elle dominait alors les
mers
les plus connues. Mais ce parallèle entre l’Europe et la Grèce doit ê
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ies, à la Bretagne, aux îles Britanniques et à la
mer
du Nord, où le Monde cesse… De Carthage, colonie de Tyr (découverte,
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navires à carène plate, propres à glisser sur une
mer
peu profonde. Himilco rapporte qu’en dehors des Colonnes, à l’occiden
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s Colonnes, à l’occident de l’Europe, s’étend une
mer
sans limites ; l’océan s’y déploie vers des horizons sans fin. Nul n’
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se — ou Rioni — petit fleuve qui se jette dans la
mer
Noire. Ainsi Platon fait dire à Socrate : Je suis de plus en plus co
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ns qu’une petite partie, vivant tout autour de la
mer
, comme des fourmis et des grenouilles autour d’un marécage, et qu’il