1 uoi cette densité si remarquable ? Et dans quelle mesure peut-on dire que cet apport des Suisses à la culture représente une c

2 s sont protestants, peut-être. Mais le goût de la mesure , de l’intériorité, du réalisme et de la psychologie moyenne expriment

3 ’heure de l’Europe unie, la Suisse semble donc en mesure de tenir une place plus qu’honorable dans une compétition continental

4 lonté de puissance d’un dictateur réussit dans la mesure exacte où elle rencontre et satisfait un besoin largement partagé de

5 ns pouvoir contraignant n’est féconde que dans la mesure où elle éveille et libère chez beaucoup la possibilité de s’affirmer,

6 d’être aussi poumon que possible, et, dans cette mesure même, il aidera le cœur à être un bon cœur. Cinquième principe. Le f

7 opéenne sur un geste qu’aucun grand État n’est en mesure de faire, il est sans doute dangereux de s’épuiser à combattre des so

8 e de nos États contemporains. Au surplus, dans la mesure où elle subsiste, elle se voit garantie et défendue par une constitut

9 . (Relations économiques et commerciales, dans la mesure compatible avec les plans fédéraux ; relations culturelles ; recherch

10 judiciaires prévus par leur constitution, dans la mesure où ces droits et devoirs ne sont pas délégués à la fédération. C’est

11 titutions des États et des autonomies régionales, mesures propres à faire respecter la Constitution fédérale, révision de celle

12 voir fortement centralisé et très riche serait en mesure d’user et d’abuser), pousse également à concevoir la nécessité vitale

13 s de servir de prétextes pour retarder encore les mesures d’union ; enfin, nécessité urgente d’un troisième partenaire, moins n

14 e s’approfondit et ne dégage ses énergies qu’à la mesure des résistances qu’elle rencontre. Et c’est l’Europe catholique et no

15 ces œuvres variées et qui leur offre une commune mesure  ; sans quoi, nous ne saurions parler d’une culture, cohérente et viva

16 nguistique si variée de leur État. Nous sommes en mesure de savoir mieux que les autres que la vie culturelle de nos régions e

17 non pas empruntée, imitée ? Je ne crois guère aux mesures de « défense » qu’on nous propose périodiquement : défense contre l’i

18 ces œuvres variées, et qui leur offre une commune mesure  ; sans quoi, nous ne saurions parler d’une culture, cohérente et viva

19 nguistique si variée de leur État. Nous sommes en mesure de savoir mieux que les autres que la vie culturelle de nos régions e

20 3 à 50 millions d’habitants ? Aucun ne paraît en mesure de se relever de ses ruines sans aide extérieure ; ni d’assurer à lui

21 e de ces expressions ? Aucun de nos pays n’est en mesure , non plus, de parler au nom de l’Europe. Qui pourrait assumer, dans c

22 de La Haye, en 1948, qu’une Europe unie serait en mesure de doubler sa production et son niveau de vie. Jean Monnet et son équ

23 els et les parlements ne se croient pas encore en mesure « d’aller plus loin ». Mais dans notre civilisation moderne, une tran

24 tuels resteraient pleinement souverains — dans la mesure toutefois où cette souveraineté ne serait pas limitée, en fait, et mê

25 lismes. Il faudrait voir, d’une part, dans quelle mesure cette notion est compatible avec le droit, et d’autre part, si elle c

26 audrait examiner objectivement si, et dans quelle mesure , « les choses étant ce qu’elles sont », la notion d’indépendance n’a

27 ce contenu économique, et il montrera dans quelle mesure ces structures tendent ou non à se rapprocher des formes fédéralistes

28 ion américaine. Nous montrerons aussi dans quelle mesure les préoccupations économiques, totalement absentes des plans du xive

29 ’Amérique ». Germaine de Staël est suisse dans la mesure où elle ouvre des perspectives européennes, soit par son action perso

30 pétitions de cette fin du xxe siècle que dans la mesure où elles sauront grouper leurs authentiques forces locales pour mieux

31 e de nos forces ; le second tiers en donnerait la mesure , et le dernier nous mettrait au défi d’en tirer plus que la mesure. D

32 nier nous mettrait au défi d’en tirer plus que la mesure . Devant nous, fermant une vallée qu’il nous fallait d’abord aller rej

33 été de ses plans lumineux virant très lentement à mesure que nous descendions, occupaient constamment nos regards. Notre march

34 que leur révéler cette misère relative : dans une mesure sans cesse croissante, elle la crée. Il a suffi de leur communiquer l

35 aines développées dans la liberté et une certaine mesure d’harmonie : harmonie entre l’homme et la Nature, entre la personne e

36 sel. Une démocratie ne mérite son nom que dans la mesure où, soit par l’enseignement, soit par la famille, soit par d’autres m

37 secondaire, hautes écoles et télévision) dans la mesure où elle façonne les caractères et les esprits, ne fait pas des Europé

38 opéenne digne du nom, que va-t-il se passer ? Des mesures propres à « favoriser » (faute de vouloir la créer) une « union plus

39 ion, pour deux États-nations, n’est jamais qu’une mesure de fortune, voire qu’un expédient désespéré (comme par exemple l’unio

40 notre société occidentale. À peine a-t-on pris la mesure des perspectives qu’il nous invite à explorer, notamment politiques e

41 sert de prétexte à refuser encore, ici ou là, les mesures nécessaires d’union. Pourtant l’Europe se fait par mille réseaux d’en

42 que négatifs. Ils peuvent encore soit refuser les mesures d’union qui s’imposent, soit abaisser les barrières douanières et sup

43 ouvement. Ce qu’il a proclamé avec une si louable mesure , et, il faut bien le reconnaître, dans l’indifférence générale, c’est

44 t dommageable. La question est celle-ci : quelles mesures prendre pour empêcher l’exode quand il n’a pas le caractère d’échange

45 ix à faire : je suis personnellement contre toute mesure négative, contre tout barrage qui consisterait à empêcher les gens de

46  à l’échelle des moyens techniques modernes, à la mesure de l’Amérique et de la Russie aujourd’hui, de la Chine demain », écri

47 ion, pour deux États-nations, n’est jamais qu’une mesure de fortune, voire un expédient désespéré (comme par exemple l’union d

48 leur sert de prétextes à refuser, ici ou là, les mesures nécessaires à l’union. Mais elle ne peut rien faire de plus. On l’a b

49 e société occidentale. À peine avons-nous pris la mesure des perspectives qu’il nous invite à explorer, notamment institutionn

50 e Gex, où l’on a eu, de tout temps, le goût de la mesure , de la solidité, de la simplicité ne souffrira-t-il pas d’une mutatio

51 en vigueur à cette dernière date sans la moindre mesure de transition. (Suppression instantanée des péages entre vingt-cinq É

52 idu à la fois libre et responsable. Libre dans la mesure où il est responsable, et responsable dans la mesure où il est libre

53 ure où il est responsable, et responsable dans la mesure où il est libre […] Les deux choses sont absolument liées. C’est une

54 olue : car nul pays de notre Europe n’est plus en mesure de jouer un rôle mondial, d’assurer seul sa défense, de se nourrir se

55 , presque tous nos États centralisés — et dans la mesure même où ils sont centralisés — se révèlent trop grands pour animer la

56 multinationales du type de la Regio Basiliensis, mesures professionnelles et industrielles tendant à dévaloriser les frontière

57 que de grands espaces économiques constitués à la mesure des possibilités et des besoins de l’ère scientifico-technique. Cet é

58 la santé de la pensée européenne, sa justesse, sa mesure conquise sur le chaos de la masse indistincte autant que sur l’anarch

59 t produit une situation de crise dont l’acuité se mesure notamment par le chiffre élevé des suicides. L’homme des ensembles à

60 tout des confédérations. La confédération est une mesure d’opportunisme pour des gens qui voient que l’on ne peut pas continue

61 ur l’influence d’André Gide : « 1. a) Dans quelle mesure l’œuvre et la pensée de Gide vous ont-elles influencé, b) et quels so