1 1971, Le Monde et Le Monde diplomatique (1950-1982). La poussée régionaliste en Europe occidentale (avril 1971)
1 lier que celui des nations modèle xixe  siècle. À mesure que les frontières dites « historiques » ou « naturelles » selon les
2 1972, Le Monde et Le Monde diplomatique (1950-1982). « Le respect du réel, c’est le revers du paradoxe » (14 décembre 1972)
2 re mon juge ironique. Si Goethe a été pour moi la mesure et s’il m’a convaincu de la valeur de l’action, à laquelle je consacr
3 1972, Le Monde et Le Monde diplomatique (1950-1982). Descartes inversé ou le zen occidental (14 décembre 1972)
3 teindre le but, et peuvent être nuisibles dans la mesure exacte où ils absorbent l’attention, la détournent du but, ou le font
4 ent à d’autres fins plus hautes, et dans la seule mesure où ces moyens servent nécessairement ces fins. Car un moyen vu sans s
4 1974, Le Monde et Le Monde diplomatique (1950-1982). La révolte des régions : l’État-nation contre l’Europe (mars 1974)
5 r par autre chose que par le refus périodique des mesures communes que l’on propose. Refus qui s’adresse simultanément à la féd
5 1979, Le Monde et Le Monde diplomatique (1950-1982). Le fédéralisme helvétique dans l’Europe d’aujourd’hui (24-25 juin 1979)
6 ns de défendre le tout, nulle partie n’eût été en mesure d’assurer son indépendance. Les cantons alémaniques eussent été reven
7 rance, de la Grande-Bretagne et, dans une moindre mesure , de l’Espagne — ces trois prototypes de l’État national. Les pratique
8 ntes, sous la pression des faits, à renforcer les mesures de centralisation ? La Suisse même peut-elle échapper à ce processus 
9 édéral ne doit pas le faire. » Il est normal qu’à mesure qu’augmentent les dimensions des tâches — transports, énergie, emploi