1
peut être avantageuse dans certains cas, dans la
mesure
où elle nous exclut, précisément, d’un conflit que nous jugeons mauva
2
’est un kilo. Votre mensonge restera relatif à la
mesure
invariable du vrai. Si le client contrôle, il peut voir qu’on le vole
3
diable. À partir de l’instant où vous faussez la
mesure
même de la vérité, toutes vos « vertus » sont au service du mal et so
4
arce que l’acte dont elles naquirent supprime les
mesures
mêmes du beau. Il n’y a plus de fautes de goût possible là où n’exist
5
même plus aisément reconnaissable, et dans cette
mesure
moins dangereux. La sexualité ne devient proprement démoniaque que lo
6
ils apparaissent de plus en plus inacceptables à
mesure
que se répandent les notions de progrès indéfini, de confort à tout p
7
i, de confort à tout prix, de succès rapide, et à
mesure
que s’efface la croyance dans un au-delà. D’une part l’individu moder
8
d’injustices qui pouvaient être éliminés par des
mesures
adroites. Toutes ces croyances, en grande partie superstitieuses, ont
9
ux dire ceci : nous sommes tous coupables dans la
mesure
où nous ne reconnaissons pas et ne condamnons pas en nous aussi la me
10
’homme n’existe qu’en elles et par elles. Dans la
mesure
où nous leur obéissons, nous ne sommes donc plus responsables de nos
11
ent humaine et en même temps vraiment divine (« à
mesure
d’homme, qui est mesure d’ange » : Apoc. ch. 21, v. 17). Il est quest
12
emps vraiment divine (« à mesure d’homme, qui est
mesure
d’ange » : Apoc. ch. 21, v. 17). Il est question là d’un développemen