1 1938, Journal d’Allemagne. Journal (1935-1936)
1 rop par rapport aux postes vacants. On a pris des mesures pour enrayer le chômage des intellectuels. On contingente les inscrip
2 chefs du régime, et quelques indications sur les mesures vexatoires prises à l’égard des juifs (c’est très simple : ils ne peu
3 de ces causes. Pourquoi se fait-on tuer ? Dans la mesure où on l’accepte, c’est par une sorte d’acte de foi. Mais alors tout d
4 re, d’un savoir bien relatif, car il n’est pas de mesure constante dans cet ordre. Ils sont donc morts pour une idée que son t
5 s pas combattre votre conception du monde dans la mesure où elle se veut héroïque, comme celle des jeunes Russes d’ailleurs. J
6 oches : ils sont dressés, immobiles et hurlant en mesure , les yeux fixés sur ce point lumineux, sur ce visage au sourire extas
2 1938, Journal d’Allemagne. Conclusion 1938
7 élites parlent un langage que les masses sont en mesure d’entendre, mais non pas de comprendre (et c’est souvent heureux) ; o
8 ipe d’union sociale et spirituelle, toute commune mesure a disparu — dans une telle société il est fatal que se répande par le
9 roire encore qu’on puisse détacher telle ou telle mesure prise par le régime pour l’admirer isolément, ou pour essayer de l’im
10 n ce qui importe au dictateur, ce n’est pas telle mesure en soi, mais au contraire le sens qu’elle prend par rapport au mouvem
11 l’union sacrée, morale de guerre ; et toutes les mesures d’oppression sont « joyeusement acceptées » pour peu que l’union sacr
12 e que vaille, les dictateurs. Refaire une commune mesure vivante. Restaurer le sens civique décadent. Retrouver une foi qui ne
3 1938, Journal d’Allemagne. Instruction spirituelle donnée aux étudiants hitlériens, (Extrait de lettre d’un étudiant allemand)
13 re rejetés, ce qui se produit en partie grâce aux mesures de stérilisation… La conception nationale-socialiste n’est destinée q
4 1938, Journal d’Allemagne. Plébiscite et démocratie. (À propos des « élections » au Reichstag, 29 mars 1936)
14 lériens.) Dans les deux cas, il s’agit donc d’une mesure d’exception, ou de crise, exigeant la mise en œuvre d’une propagande
15 en Suisse, il n’est « démocratique » que dans la mesure où le fédéralisme suisse subsiste, et où l’État centralisé n’a que de
16 i savent ce qu’ils font, dans un cadre qui soit à mesure d’homme, — pour la seule vraie « démocratie », dirions-nous volontier