1
éculaire, mais dont les termes se sont dégradés à
mesure
qu’on perdait conscience des orientations spirituelles qu’ils signifi
2
on des mythes de l’amour devient lisible, dans la
mesure
où elle correspond à l’action même du langage. Plus tard, une fois re
3
nnent » (nous prédisposent à la passion), dans la
mesure
précise où elles obéissent aux mythes, cependant que leurs auteurs cr
4
us conduit, peut-être serons-nous un peu mieux en
mesure
de courir notre risque personnel, d’assumer notre amour et d’aller ve
5
the qui s’y trahit, et qui est leur seule commune
mesure
. Je ne m’attacherai donc, dans ces trois œuvres, qu’à l’apparition de
6
vous supplie de ne pas prendre à mon égard cette
mesure
extrême… J’insiste, la main sur le cœur, que j’ai contribué à la litt
7
trente ans, et connut un immense succès. Mais, à
mesure
qu’il se fit mieux comprendre, dans la suite de ses ouvrages composés
8
i-même. Ainsi l’incertitude est objective dans la
mesure
où l’objet de la conviction qu’on entretient n’est pas démontrable ;
9
qu’on entretient n’est pas démontrable ; dans la
mesure
, aussi, où l’enjeu de la vocation reste passible d’être mis en doute,
10
ssible d’être mis en doute, ou même nié ; dans la
mesure
où cet enjeu risque, après tout, d’être purement imaginaire. À cela,
11
mais qui ne valent que par ces règles et dans la
mesure
où l’on sent qu’elles les violent. Pour peu qu’il les impose, elles p
12
assions déterminées par Don Juan, sont dans cette
mesure
même musicaux. « On peut arriver pendant la représentation, on est im
13
Mais alors le message devient énigmatique dans la
mesure
même où il a su se rendre perceptible… Ce qui se passe entre Kierkega
14
Cet amour qui « entraîne » et transfigure dans la
mesure
où il est par essence malheureux, ce n’est pas l’Éternel féminin myst
15
subsiste donc en permanence. Au surplus, dans la
mesure
où la conduite, la pensée et l’affectivité d’un même individu sont di
16
de son sens ou de son absurdité, nous mettrait en
mesure
de répondre. Si notre incarnation présente n’est que souffrance et il
17
qui a résolu ce problème dans sa vie est seul en
mesure
de condamner Don Juan et Tristan à la fois ; mais il n’a plus de rais
18
normal. Une certaine dualité est normale, dans la
mesure
où elle ne fait que traduire la formule même de la vie sur tous les p
19
si bien dire55. La liberté. — Sur les premières
mesures
du Menuet en sourdine — la musique vient de l’intérieur du palais —,
20
« tourmente » !) que nous laissent les dernières
mesures
de Tristan. L’amour. — Ici la dialectique des deux mythes se resserr
21
’il se méfiait d’une certaine « profondeur », qui
mesure
parfois la distance entre l’éthique et la mystique, mais qui souvent
22
a passion d’un personnage romanesque. Dans quelle
mesure
peut-on tenir Gide pour responsable de cette « inhabileté foncière à
23
té. Voici donc cette première approche. ⁂ Dans la
mesure
même où Kassner se montre disciple de Kierkegaard, sa pensée paraît r
24
i qui donne son titre au recueil, les mots-clés :
mesure
, forme, grandeur, métamorphose, miroir, limite, sacrifice, chance, dr
25
peut atteindre la grandeur parce qu’il possède la
mesure
au sein d’un tout fini : Famille, dieux, nature, tout lui commande d
26
vit dans la démesure, et lorsqu’il « veut prendre
mesure
de lui-même, il se sent aussitôt incomplet et coupable. Il est donc p
27
Il est donc possible de dire que le péché est la
mesure
du démesuré, et que pour le chrétien il n’est pas d’autre grandeur. »
28
nce du chrétien, hors duquel il n’est pour lui ni
mesure
, ni grandeur, ni forme, mais seulement chimères et incohérence. Que l
29
considère en effet l’homme moderne, l’homme sans
mesure
naturelle : s’il ne retrouve pas de loi interne et de tension par le
30
i s’opposent et se comparent, dans ses dialogues,
mesure
antique et démesure moderne, ou les grandes intuitions tautologiques
31
souvent répétées, mais de plus en plus sévères à
mesure
que le temps passe, auxquelles Kassner recourt pour se différencier d
32
abîmes » du monde magique, qui est le monde sans
mesure
d’avant le drame, d’avant l’idée et la Parole — et du monde collectif
33
éel, du spirituel au politique ; mais dans quelle
mesure
est-ce vrai ? Quel est le moi qui s’affirme d’une part, et quel est l
34
s loin : « Nous devenons vraies personnes dans la
mesure
où nous faisons face à l’Un tout-transcendant.105 » (Ce qui est chrét
35
en soi : il ne devient mauvais que dans la seule
mesure
où il se referme sur soi, c’est-à-dire se refuse à l’amour. Et de mêm
36
e tout. « Nous ne désirons des choses que dans la
mesure
où elles nous procurent une jouissance. La divinité n’est un objet d’
37
et historiques sont ambigus à l’infini, pour nos
mesures
. Les peuples sont dans l’ignorance malheureuse des origines et des fi
38
de son propre point de vue, D. T. Suzuki passe la
mesure
dans l’autre sens lorsqu’il écrit avec une évidente satisfaction : «
39
chez l’homme, autre chose que l’instinct. Dans la
mesure
où, sans perdre l’instinct, elle s’ordonne à des fins nouvelles qui n
40
ais encore tangible et sensible, elle découvre et
mesure
l’énergie et le mystère de l’attraction universelle. Et il est beau q
41
es bourgeois. C’est qu’ils ont deux poids et deux
mesures
. D’une part la chose est claire, de l’autre il faut, nuancer. Je dema
42
la coutume du pays, m’apparaît nécessaire dans la
mesure
exacte où elle se révèle suffisante. Certes, l’éducation n’a d’autre
43
on a pour fin véritable la personne, mais dans la
mesure
où la personne se réalise, devient donc libre et responsable, la mora