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, de la solidarité civique, de la raison et de la
mesure
, de l’esprit critique et de la tolérance socratique. Mais l’histoire
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te-t-il en propre à l’Europe ? Le sens grec de la
mesure
, le sens romain du droit, le sens germanique de la communauté des hom
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s, syndicalistes et industriels — préconisent des
mesures
d’« union plus étroite » de nos pays, en vue de la reconstruction éco
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s étant les motifs de s’unir, quelles ont été les
mesures
prises pour y répondre au niveau des actions politiques gouvernementa
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sans poser un très sérieux problème : dans quelle
mesure
la CEE peut-elle prétendre à constituer le « noyau de l’Europe unie »
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uant aux activités culturelles en Europe, dans la
mesure
où elles intéressent de près ou de loin l’idée de l’union, c’est le C
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versité européenne qui a son siège à Florence.
Mesure
présente du consensus européen On dit souvent que l’idée d’union e
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aperçu que cette même technologie n’était plus en
mesure
de se développer à la vitesse et dans les conditions nécessaires pour
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elle. Et l’on ne voit pas que nos États soient en
mesure
de la maîtriser chacun pour son compte à l’échelle nationale. Pas plu
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ementales annoncent tous les six mois environ des
mesures
propres à nous faire « sortir du tunnel », qu’il s’agisse de l’inflat
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du pétrole (guerre au Moyen-Orient), prévoir des
mesures
de solidarité européenne excluant la pénible situation de 1973, où l’
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citaient à négliger, à ignorer, à condamner ! Ces
mesures
, parmi tant d’autres déjà proposées par des scientifiques compétents,
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vu. Il semblerait en effet que le Mexique soit en
mesure
de produire autant de millions de barils de pétrole que toutes les au
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lumineuses, etc.). 2.Nature des obstacles aux
mesures
requises Dans la très grande majorité des cas de pollution ou de g
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r, prend à sa charge les indemnisations, puis les
mesures
de prévention, puis le contrôle des règles « strictes » édictées par
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se nationale ? Au surplus, nos États opposent aux
mesures
écologiques de tous ordres que préconisent les organisations privées
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z le voisin. Les motifs de la non-application des
mesures
écologiques prises par les gouvernements, du sabotage des mesures pré
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ues prises par les gouvernements, du sabotage des
mesures
préventives contre les effets chroniques des pollutions de tous ordre
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lle ne pourront être surmontées que dans la seule
mesure
où seront surmontés les dogmes du profit financier privé et de la sou
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le cadre des souverainetés nationales. Parmi les
mesures
à la fois écologiques et économiques qui s’imposent sans discussion à
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de production d’énergie. Au niveau européen, ces
mesures
impliquent des accords fédéraux, supranationaux, permettant seuls d’e
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de l’union continentale de nos pays. La première
mesure
générale indispensable étant de normaliser les prescriptions anti-pol
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t habituellement les multinationales). La seconde
mesure
générale étant de confier à des agences continentales la distribution
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t, que peuvent être réalisées avec efficacité les
mesures
écologiques contre la pollution des eaux (nappes phréatiques, lacs, r
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ce continentale, seules capables de planifier des
mesures
de très grandes dimensions : protection de la couche d’ozone, protect
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age des espèces. Ces conditions de réalisation de
mesures
conservatoires de l’homme, de la Nature, des villes, et de leurs inte
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és quotidiennes. Il est fort peu probable que les
mesures
préconisées dans ce Rapport soient appliquées par les États s’ils n’y
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lturelles, juridiques, économiques et sociales, à
mesure
que la centralisation se fait plus impérieuse dans tous ces domaines.
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a fois libre et responsable dans une communauté à
mesure
humaine. Car là seulement le citoyen pourra voir et vérifier dans une
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ène régional, mais déjà dans la mise en forme des
mesures
tendant à instaurer l’autonomie des régions, notamment en Italie, en