1 1941, Articles divers (1941-1946). Trois paraboles (1er octobre 1941)
1 bonne, étant bien celle de ses vœux, la pierre se mit à luire davantage ; et davantage encore il l’aimait, plus il luttait
2 la nuit — grande était sa douleur — la pierre se mit à luire sous la cendre, et le grand feu flamba soudain toute la pièce
3 onnaissez ces couloirs. Et je ne voulais pas être mis à la porte ! Naturellement, j’aurais dû pousser la première porte ven
2 1941, Articles divers (1941-1946). Reynold et l’avenir de la Suisse (1941)
4 dépourvu d’idéal directeur, n’était autre que la mise au pas du pays, sa mise en marche vers le nihilisme — ou l’annexion.
5 eur, n’était autre que la mise au pas du pays, sa mise en marche vers le nihilisme — ou l’annexion. « Faire du socialisme, é
3 1943, Articles divers (1941-1946). Rhétorique américaine (juin-juillet 1943)
6 t nos deux littératures : tradition et actualité, mise en ordre et mise en mouvement. De leur alliance naît la Liberté. f.
7 atures : tradition et actualité, mise en ordre et mise en mouvement. De leur alliance naît la Liberté. f. « Rhétorique amé
4 1944, Articles divers (1941-1946). Un peuple se révèle dans le malheur (février 1944)
8 l’absence de grands gestes théâtraux, la sourdine mise à l’éloquence traditionnelle, le refus même de se complaire dans le l
5 1944, Articles divers (1941-1946). Quelle guerre cruelle (octobre-novembre 1944)
9 des procédés contraignants. En cas d’échec, on le mettait derrière des barreaux. La guerre actuelle est une névrose collective
6 1944, Articles divers (1941-1946). L’attitude personnaliste (octobre 1944)
10 de main-d’œuvre créée par le service civil serait mise par l’État à la disposition des libres entreprises, syndicats ou coop
7 1944, Articles divers (1941-1946). Les règles du jeu dans l’art romanesque (1944-1945)
11 ieux prennent figure d’hommes, que les statues se mettent à ressembler aux hommes, que l’homme devient de plus en plus son prop
12 -il lorsque le romancier nous fait savoir qu’il a mis dans son livre ce qui est, et non plus ce qu’il a inventé ? L’abandon
13 nventions narratives, pour peu d’exigence qu’on y mette , aboutit à faire du roman quelque chose d’interminable, et quelque ch
14 Quelque chose qui n’en finit plus, car la vie ne met jamais de point final. Il y a jeu quand les conséquences s’épuisent a
8 1945, Articles divers (1941-1946). Présentation du tarot (printemps 1945)
15 à la fin du jeu, c’est-à-dire au nombre 78, et a mis au nombre 21 la figure qu’il nomme le Despote africain, qui n’est aut
16 ement tout jeu de ce genre sur lequel il pourrait mettre la main, si l’on ne craignait de donner à ces contrefaçons la valeur
9 1946, Articles divers (1941-1946). Les quatre libertés (30 mars 1946)
17 le tableau : la liberté de parole se voit partout mise en échec par des censures officielles ou commerciales, la misère règn
10 1946, Articles divers (1941-1946). Dialogues sur la bombe atomique : La paix ou la bombe (20 avril 1946)
18 ant le 6 août, elle est là, parce que l’homme l’a mise là. Et votre sens de la mesure peut se rebeller comme l’esprit devant
11 1946, Articles divers (1941-1946). Histoire de singes ou deux secrets de l’Europe (16 mai 1946)
19 un grand meuble à tiroirs. Dans les tiroirs on a mis des bananes. Sur un signal donné par une sirène, les singes sont lâch
12 1946, Articles divers (1941-1946). Deux lettres sur le gouvernement mondial (4 juin 1946)
20 e prix exorbitant de l’autarcie, plutôt que de se mettre hors d’état de faire la guerre, en se liant à des économies voisines.
21 cheval par-dessus toute l’Allemagne ou l’océan. ( Mettez -lui bien cela dans la tête.) x. « Deux lettres sur le gouvernement
13 1946, Articles divers (1941-1946). Contribution à l’étude du coup de foudre (1946)
22 banquier, elle aussi, n’a presque pas touché aux mets servis. Le déjeuner se termine toutefois sans que mon hôte ait paru r
23 pouvons toucher à rien. Tout d’un coup je me suis mis debout. Je fais le tour de la table, je m’arrête devant elle, les bra
24 ne pensais qu’à la situation politique. Nous nous mettons à table, je l’interroge avec nervosité sur les événements de l’avant-