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s ? L’homme naît orienté par ses gènes et par son
milieu
. La société est le résultat global des réussites et des échecs de ses
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eurs un Suisse, Jean-Jacques Rousseau, qui dès le
milieu
du xviiie siècle, prônait les petites dimensions de l’État en tant q
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ceptions près, nous représentons toutes sortes de
milieux
, de forme de vie, nous ne sommes pas ce que l’on appelle en allemand
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Il est un temps pour vivre de ses racines dans le
milieu
natal, et un temps pour vivre son aventure personnelle et pérégrine,
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’autres… Le simple fait de les voir vivre dans un
milieu
, pour eux foncièrement étranger à tant d’égards, me donnait comme une
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ie humaine, et à la formation de l’enfant dans un
milieu
naturel et humain où l’on dit « qu’il a ses racines ». Mais en fait l
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té politique née de la libre agrégation — vers le
milieu
du xiiie siècle — de groupements très variés de communes, de vallées
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issent à se dégager de leur canton — alors pas de
milieu
, ils atteignent l’universel. Au fond de son trou l’homme de Disentis,
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ée par mon But, non par mon passé, mes gènes, mon
milieu
… C’est téléologique pour chacun, qu’il le sache ou non. Mais il vaut
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des hommes habitent les villes, c’est-à-dire des
milieux
intégralement artificiels. Les crises dont tout le monde parle sont n