1
s à ceux-là seuls qui, par leur naissance ou leur
milieu
, se trouvaient préparés pour en jouir convenablement. Il faut organis
2
ndes œuvres romanesques : une individualité et un
milieu
social bien défini. À ces deux éléments s’en ajoute un troisième qui
3
sur les sentiments, et dès lors elle constitue un
milieu
privilégié pour l’étude du cœur humain. Si le rôle de l’art est d’aff
4
ssance », a donc épousé un Italien et vit dans un
milieu
catholique qui n’exerce, dit-elle, aucune pression sur ses conviction
5
emplaire et ne peut servir ni le catholicisme (le
milieu
protestant étant nul), ni la foi chrétienne en général (du fait préci
6
que tout ce qu’on a pu lire de plus vécu sur ces
milieux
. Finalement, la police accuse Eiichi d’avoir prêté son appui à une gr
7
s salons. « Se nourrir de romans », dans certains
milieux
, c’était le commencement de la fin, c’était se préparer à « mal finir
8
elques-uns. Je sais que le bon ton, dans certains
milieux
bien-pensants, veut qu’on dénonce le règne de la masse. On s’indigne
9
ois aux « croyances » héritées sans examen de son
milieu
, aux idoles édifiées par ses bons sentiments ou par sa peur de la réa
10
Entre la peste et le choléra, il n’y a ni « juste
milieu
» ni synthèse possible. Il faut revenir à la santé. Et tout d’abord,