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te au gouvernement suisse. Au cours des manœuvres
militaires
, il dit à un soldat : « Vous êtes 500 000 hommes, et vous tirez bien
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rement son fusil, ses munitions et son équipement
militaire
. C’est ainsi qu’on peut souvent voir un paysan, assis sur le seuil de
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e leur liberté. Les libertés civiques et l’esprit
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n’ont jamais été en contradiction. Depuis les temps les plus anciens,
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rs. Tous les hommes de 20 ans, propres au service
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vont à la même école. Là le paysan a comme compagnon de chambre l’étu
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u citadin de fréquents contacts avec les affaires
militaires
. Dans chaque village, dans chaque club de tir, on voit des « cercles
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onsacre quelques heures par semaine à ses devoirs
militaires
. Un capitaine, par exemple, dans la vie civile, surveille sa compagni
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. Nous trouvons ainsi à la base de l’organisation
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, les mêmes facteurs qui déterminent la structure politique du pays :