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e l’on a nommé une offensive de paix — d’un terme
militaire
bien caractéristique. Il s’agit de ce qu’on appelait jadis — naguère
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éenne fût privée du droit de s’occuper des choses
militaires
et des choses économiques, s’écriait avec une sorte de désespoir iron
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n sait que Churchill le destinait à des fonctions
militaires
importantes, que la guerre l’eût sans doute contraint d’accepter. Au
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édé, puisqu’il ne craint pas d’inclure l’alliance
militaire
. Mais il a raison d’insister sur le fait que ces problèmes sont vitau
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joue perdant. Le monde entier verra nos défaites
militaires
, et l’insolence des envoyés de l’Asie rouge distribuant à nos hommes
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pratiquement, cette mise en commun des ressources
militaires
des six pays ? S’agit-il de mélanger les soldats allemands et françai
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ées. (D’où un considérable allègement des budgets
militaires
, et une efficacité technique accrue.) Il s’agit donc, en fin de compt
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CED, comment ne pas voir qu’au-delà de sa valeur
militaire
— dont chacun souhaite qu’elle n’ait jamais à faire les preuves — la
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limiter la souveraineté de l’État dans le domaine
militaire
. À ses yeux donc, une France non absolument et totalement souveraine
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Cotsaridas, publiciste grec : « Dans les domaines
militaires
, économiques et politiques, les organisations internationales existan