1 1978, Cadmos, articles (1978–1986). L’Intellectuel contre l’Europe (été 1978)
1 — le seul qui ne compte aujourd’hui ni dictature militaire ni règne d’un parti unique. La véritable anti-Europe ne serait-elle p
2 1978, Cadmos, articles (1978–1986). La chronique européenne de Denis de Rougemont (hiver 1978)
2 ). Devant tout adversaire politique, idéologique, militaire , dont le langage ou la stratégie nous déconcertent par quelque excès,
3 1981, Cadmos, articles (1978–1986). Un falsificateur vu de près (été 1981)
3 y ? Un politicien combinard comme Laval, un vieux militaire laïcard comme Pétain ont-ils vraiment puisé leur inspiration politiqu
4 t de résistance à la fois civile (ouvertement) et militaire (clandestinement) dans l’ignorance où je me trouvais d’être le compli
4 1984, Cadmos, articles (1978–1986). L’État-nation contre l’Europe : Notes pour une histoire des concepts (printemps 1984)
5 France est forgé à chaud… L’État est tout… Il est militaire dans son principe, dans ses maximes, dans son esprit, dans tous ses m
6 de l’industrie lourde, condition de la puissance militaire . Laquelle à son tour appelle et favorise le développement de la techn
7 gatoire. Alignement des corps par la conscription militaire , universelle et obligatoire. Alignement des curiosités par la grande
8 que par les USA ; — ni repousser une intervention militaire venue de l’Est ; — ni lutter contre l’inflation sans augmenter le chô
9 oires et défaites électorales, économiques, voire militaires au loin. Elle est déterminée par ces prises de conscience imprévisibl
10 ment du prestige national, du PNB et du potentiel militaire Garantie des libertés et des responsabilités civiques indissociables
5 1985, Cadmos, articles (1978–1986). Trente-cinq ans d’attentes déçues, mais d’espoir invaincu : le Conseil de l’Europe (été 1985)
11 je pense notamment au choix du nucléaire civil et militaire , que l’action des gouvernements s’efforce sans relâche de soustraire
6 1986, Cadmos, articles (1978–1986). Denis de Rougemont tel qu’en lui-même… [Entretien] (printemps 1986)
12 claré que je ne tombais sous le coup d’aucune loi militaire , qu’il ne voulait pas s’occuper de la chose. Le général Guisan m’a do