1 1945, Le Figaro, articles (1939–1953). La guerre est morte (5 septembre 1945)
1 e, qui en est morte en trois jours. Sous sa forme militaire — c’était la guerre tout court — elle a moins de chances de renaître
2 s tigres devenir végétariens. Mais je dis que les militaires n’ont plus qu’à se consacrer aux sports. Que la guerre n’est plus leu
3 érables. Il faut en prendre son parti : l’ère des militaires a pris fin le 6 août à Hiroshima. L’arithmétique élémentaire qui suff
4 orme de buée légère. N’insistons pas : l’appareil militaire qu’ont chanté les Déroulède de tous les temps, appartient en principe
2 1945, Le Figaro, articles (1939–1953). Le savant et le général (8 novembre 1945)
5 pertinent qu’il paraisse de critiquer l’avis d’un militaire que le président Truman déclarait récemment « plus grand que tous les
6 maintiens que la guerre est morte, la guerre des militaires , la vraie. Parce que nous avons passé l’âge des guerres considérées c
3 1945, Le Figaro, articles (1939–1953). Un salon atomique (26 décembre 1945)
7 ai fini par trouver une place dans un taxi. Trois militaires , rentrant du Pacifique, s’y racontaient le détail de leurs campagnes.
4 1946, Le Figaro, articles (1939–1953). Les nouveaux aspects du problème allemand (30 mai 1946)
8 mement secret du Reich. Les aspects politiques et militaires apparaissent donc comme décisifs. Tout au moins semble-t-on leur acco
9 ne était avant la guerre la plus grande puissance militaire du monde, avec son armée motorisée, son industrie prête pour la lutte
10 me allemand, considéré sur les plans politique et militaire exclusivement, se ramène au problème des relations entre l’URSS et le
5 1946, Le Figaro, articles (1939–1953). Demain la bombe, ou une chance d’en finir avec la terre (30 juin 1946)
11 affirme que l’opération sera faite « dans un but militaire  ». Ces quatre mots (et cette faute de français) réduisent au silence