1 1970, Lettre ouverte aux Européens. I. L’unité de culture
1 de culture L’Europe, avant d’être une alliance militaire ou une entité économique, doit être une communauté culturelle. L’unit
2 uit qu’un certain équilibre provisoire des forces militaires et idéologiques. Mais les frontières de toutes nos nations n’ont cess
3 utume sacrée. (Seul équivalent moderne : le drill militaire , d’ailleurs en voie de disparition.) La préparation à l’autonomie va
4 Le sort des ouvriers sera le plus étrange… l’État militaire va devenir le Grand Fabricant. Ces masses humaines dans les grandes u
2 1970, Lettre ouverte aux Européens. III. La puissance ou la liberté
5 limiter la souveraineté de l’État dans le domaine militaire . À ses yeux donc, une France non absolument et non totalement souvera
6 ssance, c’est-à-dire la puissance industrielle et militaire massive d’une sorte de Troisième Grand préoccupé principalement de te
7 es » et de la défense « nationale » économique ou militaire . Et l’on sait que l’abnégation n’est pas une valeur politicienne. L’E
3 1970, Lettre ouverte aux Européens. IV. Vers une fédération des régions
8 sation et mise au pas des corps par la discipline militaire , des esprits par les manuels scolaires, des curiosités par la presse
9  et cela pour une série de raisons (pas seulement militaires ) qu’il serait trop long de développer ici : qu’il suffise d’évoquer l
4 1970, Lettre ouverte aux Européens. Lettre ouverte, suite et fin
10 ir compte des conditions économiques, sociales et militaires , qu’implique la survivance de nos États-nations, il est clair que l’u