1
omme en Amérique latine) de régimes dictatoriaux,
militaires
ou cléricaux, expressément antidémocratiques, ait pu dépendre de l’«
2
que par les USA ; — ni repousser une intervention
militaire
venue de l’Est ; — ni lutter contre l’inflation sans augmenter le chô
3
qu’une nation dominée par une dictature civile ou
militaire
(Portugal, Espagne, Grèce il y a quelques années encore) ne saurait f
4
s deux Chambres ; ni monnaie commune ; ni défense
militaire
commune ; ni plan commun pour faire face aux crises énergétiques comm
5
nomiques, énergétiques, écologiques, éducatifs et
militaires
. Ce sont ceux que l’on se propose ici de formuler dans leur réalité.
6
pas uniquement le profit en monnaie, la puissance
militaire
en fusées nucléaires, et l’élévation à tout prix du niveau de vie mat
7
sur des sites ad hoc et exploitées de façon quasi
militaire
. » Déclaration de M. Jean-Claude Leny, directeur général de « Framato
8
s explosions nucléaires et les vols supersoniques
militaires
et civils constituent une menace peut-être grave pour la couche d’ozo
9
res ultimes de toute action politique, sociale ou
militaire
. Si les Européens n’arrivent pas très vite à comprendre que le réalis
10
État », de l’appareil politique, administratif ou
militaire
qui a réussi à faire main basse sur une nation. Les dictatures totali
11
anie des troubadours n’était encore qu’une langue
militaire
, non littéraire. Plus tard, l’ethnie conquérante qualifiera de « dial
12
la Grande-Bretagne. 2.La crise Les auteurs
militaires
d’une compétence et d’une indépendance d’esprit généralement reconnue
13
d Johannes Steinhoff, qui fut président du comité
militaire
de l’Alliance atlantique à Bruxelles. a) Le premier, dans L’Europe sa
14
. Réponse de la majorité des auteurs et critiques
militaires
: l’arme atomique d’une nation européenne serait inutilisable : — con
15
onaux-étatiques, c’est ce qu’on appelle en termes
militaires
la défense en hérisson. Défense locale, village par village. Combat s
16
mi eux les régimes absolutistes et les dictatures
militaires
sont la règle, les démocraties l’exception. L’« idéal » de développem