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e pierre. » Le corps, que l’âme quitte, redevient
minéral
, statue dans le silence « aux yeux gelés de rêverie », il se confond
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tesses intellectuelles, sur une petite superficie
minérale
où la vie se décompose avec virulence. Mais Stuttgart, plus moderne,
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git de dissoudre ces angles droits, ces symétries
minérales
qu’on instruisit dans nos esprits et qui nous laissent comme perclus
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tesses intellectuelles, sur une petite superficie
minérale
où la vie se décompose avec virulence. Mais Stuttgart, plus moderne,
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git de dissoudre ces angles droits, ces symétries
minérales
qu’on instruisit dans nos esprits et qui nous laissent comme perclus
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ast River jusqu’à Brooklyn. Un paysage immense de
minéral
et d’eau. La rivière sillonnée de remorqueurs toussotants, luit d’un
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dire ce qui n’est pas et mentir par ses actes. Le
minéral
repose où il fut composé, la plante pousse où se fixa la graine, les
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et mentir par un acte de sa volonté réfléchie. Le
minéral
repose où il fut composé, la plante pousse où se fixa la graine, les
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et mentir par un acte de sa volonté réfléchie. Le
minéral
repose où il fut composé, la plante pousse où se fixa la graine, les
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dire ce qui n’est pas et mentir par ses actes. Le
minéral
repose où il fut composé, la plante pousse où se fixa la graine, les
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ast River jusqu’à Brooklyn. Un paysage immense de
minéral
et d’eau. La rivière, sillonnée de remorqueurs toussotants, luit d’un
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ast River jusqu’à Brooklyn. Un paysage immense de
minéral
et d’eau. La rivière, sillonnée de remorqueurs toussotants, luit d’un
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ast River jusqu’à Brooklyn. Un paysage immense de
minéral
et d’eau. La rivière, sillonnée de remorqueurs toussotants, luit d’un
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tesses intellectuelles, sur une petite superficie
minérale
où la vie se décompose avec virulence. Mais Stuttgart, plus moderne,
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git de dissoudre ces angles droits, ces symétries
minérales
qu’on instruisit dans nos esprits et qui nous laissent comme perclus
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ast River jusqu’à Brooklyn. Un paysage immense de
minéral
et d’eau. La rivière, sillonnée de remorqueurs toussotants, luit d’un
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e l’hiver jusqu’à Brooklyn. Un paysage immense de
minéral
et d’eau. La rivière, sillonnée de remorqueurs toussotants, luit d’un
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ient, de substituer dans le cadre de notre vie le
minéral
, pratiquement immortel (métal, verre, plastique et béton) au végétal
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i, par peur de mourir, choisissons-nous l’inertie
minérale
contre la vie, toujours mortelle. Le Progrès vénéré par le xixe sièc
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ient, de substituer dans le cadre de notre vie le
minéral
, pratiquement immortel (métal, verre, plastique et béton) au végétal
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i, par peur de mourir, choisissons-nous l’inertie
minérale
, l’inanimé contre la vie toujours mortelle. Le Progrès vénéré par le
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ssion technicienne contre la nature tout entière,
minérale
, végétale, animale et humaine. Agression brusque, espèce de coup de f
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ne végétale ou animale, par des matières inertes,
minérales
ou synthétiques : bois par tôle ou ciment, coton par nylon, humus par
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s dans l’écorce terrestre, rayons cosmiques, eaux
minérales
. Alors ? — Mais en cas d’accident, que se passerait-il ? insistent d’
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s compose un environnement de métal, de verre, de
minéraux
et de plastique, bref de matériaux non biodégradables ; puis par la m
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a fonder sur une logique du vivant, et non pas du
minéral
, qui est le domaine des techniques dures comme je l’ai dit tout à l’h