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s par là même infidèles au réel, vexants pour les
minorités
, destructeurs des diversités qui sont la condition de toute vie organ
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pe. Le fédéralisme ne connaît pas de problème des
minorités
. On objectera que le totalitarisme, lui aussi, supprime ce problème :
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pprime ce problème : mais c’est en supprimant les
minorités
qui le posaient. Il y a totalitarisme (au moins en germe) dans tout s
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t une injustice ou une erreur dans le fait qu’une
minorité
ait les mêmes droits qu’une majorité. C’est qu’à ses yeux la minorité
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es droits qu’une majorité. C’est qu’à ses yeux la
minorité
ne représente qu’un chiffre, et le plus petit. Pour le fédéraliste, i
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s petit. Pour le fédéraliste, il va de soi qu’une
minorité
puisse compter pour autant, voire pour plus qu’une majorité dans cert
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quelle que soit leur population. Mais le jeu des
minorités
raciales et religieuses qui composent l’ensemble ne se manifeste guèr
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sprit d’aventure, qui sera toujours le fait d’une
minorité
, n’empêchent nullement ceux qui préfèrent la sécurité maternelle et l
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une région, ne peuvent en aucun cas en priver les
minorités
.) D’autre part, face au reste du monde et dans le monde, nos peuples