1 1926, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Paradoxe de la sincérité (décembre 1926)
1 e nous constater, doit nous construire — selon le mode le plus libre, le plus conscient à la fois et le plus voluptueux.
2 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Billets aigres-doux (janvier 1927)
2 nt quels anges fous. L’horaire dicte un adieu, La mode qu’on rie des pleurs, Lors je baise votre main Comme on signe d’un fa
3 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Récit du pickpocket (fragment) (mai 1927)
3 re, mon pays natal ! — Je vécus d’articles sur la mode et la politique, que j’envoyais à divers journaux. Un jour, parcouran
4 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). La part du feu. Lettres sur le mépris de la littérature (juillet 1927)
4 ume d’aborder sans le mot de passe de la dernière mode ou de savantes séductions. On sait bien, d’ailleurs, qu’elle les entr
5 1929, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). L’ordre social. Le Libéralisme. L’inspiration (novembre 1929)
5 t de là, dans une crèmerie pleine de couples à la mode . Mais en écrivant il pensait à une femme blonde assise près de lui. A
6 1930, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Les soirées du Brambilla-club (mai 1930)
6 crains que la notion n’en soit toute relative aux modes de « vie » bourgeois ; et puis la, comédie n’est pas mon fort, même l
7 ’Humanité. En passant, relevons un sophisme à la mode , qui vient trébucher dans les méandres de notre chemin : « Il faut se