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de la rhétorique chevaleresque. L’avantage de ces
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d’expression saute aux yeux. La magie persuade sans donner de raisons
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oût de la mort qu’elle dissimule, et d’un certain
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de connaître qui définirait à lui seul notre psyché occidentale. Pour
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e besoin de la passion, sont des aspects de notre
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occidental de connaissance, il faut en venir — au moins sous forme de
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sions germaniques, on vit reparaître en Gaule des
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et des goûts qui avaient été ceux des Celtes.16 » L’art roman et les
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rtée mystique de valeurs qu’elle prenait pour une
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et qu’elle accommodait à ses plaisirs. Elle ne devait pas tarder à ma
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ère, tant hindouiste que bouddhiste, une école ou
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religieuse dont l’influence s’épanouira pendant des siècles. « Du poi
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es trois premiers vers exaltent la femme selon le
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courtois, tandis que le quatrième réfute d’un trait brutal ces éloges
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donné la véritable, on s’en fait ensuite une à sa
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, et l’on y tient plus fortement peut-être, parce qu’elle est de notre
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al, c’est en vertu de l’affinité originelle de ce
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d’expression et des sujets qu’ils surent choisir. La musique seule pe
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i fit que cette fleur des chevaliers errants à la
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de Bourgogne, Jacques de Lalaing, fut tué par un boulet de canon ? »
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ires — tout cela ne cessera pas de déterminer les
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de guerroyer à travers les siècles suivants. Si bien que l’on pourra
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rdement — la passion a cherché et trouvé d’autres
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d’expression en actes. Elle y était d’ailleurs contrainte par la dépr
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écisément à l’époque où les tournois passaient de
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, et où se dissociaient leurs éléments guerrier, sportif et théâtral.
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haque génération, de même que chaque époque de la
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préfère soit la tête, soit le buste, soit la croupe, soit la ligne sp
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e trouve intimement déterminé par des facteurs de
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ou de commerce, c’est-à-dire par la nouveauté. 4.Épouser Iseut ?
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it non par les souvenirs inconscients, ni par des
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étrangères mais par la section scientifique du ministère de la propag
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favoris de journaux comme Combat, qui lancent les
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intellectuelles dans le Paris de la Libération. Je lis enfin le numér
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e femme aimée le Bien insaisissable, le Dieu sans
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et sans nom » (p. 54). D’autant plus le principe divin devient abstra