1 tations, qui voudra recevoir ce message ? « L’âme moderne  » décontenancée par l’échec de ses idéaux, demande des apaisements ou

2 es « expériences religieuses » sur lesquelles les modernes exercent leurs psychologies et leurs ratiocinations plus ou moins sce

3 sacré nous adresse. Tout au contraire du critique moderne , qui se pose en juge du texte, Calvin n’admet et ne pratique qu’une «

4 exceptionnelle ; mais non pas un inquiet au sens moderne , et le contraire d’un esthète. Comme Nietzsche, avec lequel il a pas

5 du danois prophétique, ressuscité par l’angoisse moderne . Koch n’a pas simplifié ce qui n’est pas simple chez Kierkegaard. Mai

6 ie pas qu’il faille agir à tout prix. L’activiste moderne n’est souvent qu’un agité. Le philanthrope et le puritain rigide ne s

7 tés humaines que le conformisme et la psychologie modernes semblaient avoir abolies dans le monde. C’est l’irruption de Dostoïev

8  ? À parler franc, je ne connais qu’un seul roman moderne authentiquement « réformé ». Un grand roman, je crois. C’est Sara Ale

9 xcité nous a fait perdre le secret. Notre langage moderne relève à peine de deux maladies graves : la contention abstraite du x

10 rire, ou pis encore, de l’expliquer… Le romancier moderne apparaît étrangement dépourvu de ce pouvoir « fabulateur » qu’il étai

11 sourit entre les lignes. (Mais, seule, la naïveté moderne se figure qu’une légende doit être crue, comme on croit les journaux,

12 s héros sont bien assez complexes pour notre goût moderne  ! Et que l’« analyse des motifs » est ici d’une fort malicieuse lucid

13 ouvelles en Asie et en Afrique imitent nos villes modernes , leurs procédés de construction, leurs rues, leurs places, et leurs m

14 ue, sociale et économique, élaborées par l’Europe moderne . Résumons cela : je vois l’Asie du Sud, sous-développée, courir après

15 ailleurs, il n’est pas vrai que nos États-nations modernes correspondent à l’aire de diffusion d’une langue. Prenez la France :