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er leur relation, on voit mieux encore le préjugé
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qui pousse M. Goguel à les décolorer. Et l’on se demande ce qui subsi
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ageuse. Au contraire de la plupart des historiens
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qui ont voulu déduire de leur critique la relativité des articles de
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me semblèrent soudain, dans la réalité des villes
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, privés de toute espèce de commune mesure. L’un devenait tout petit,
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s problèmes techniques que pose la vie de la cité
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. Je ne crois pas qu’il soit souhaitable que se forme un parti chrétie
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s les plus actifs de la démoralisation des hommes
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. N’ayant pas même l’excuse d’avoir réussi pratiquement, ils ne peuven
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geux dans la cité thomiste, j’opposerai une image
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, qui est aussi celle d’un chrétien dans la cité, mais qui n’est pas c
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ités. Commentons brièvement cette phrase. La cité
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est en crise, parce que personne n’a su ou n’a osé prévoir l’aboutiss
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ans les pays comme les États-Unis. Dans la guerre
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tout contribue à un abaissement du niveau intellectuel : la propagand
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e révoltant contre lui. (Les grandes philosophies
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, celles de Descartes et de Hegel, sont nées d’une controverse manifes
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randes maladies sociales et culturelles des temps
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ont toutes cette caractéristique commune : elles nient la vocation pe
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s culturelles Deux dangers menacent la culture
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au point de vue d’une éthique fondée sur la vocation : a) un faux uni
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avec quoi la lui rendra-t-on ? », les catholiques
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répondaient dans l’ensemble : « Avec du sucre ! » Remarque hélas vala
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se substituer à la religion et conduire le monde
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vers un paradis sans Dieu, a démontré son impuissance réelle devant l
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exercée la pensée protestante sur la littérature
moderne
, c’est celle de Kierkegaard. (Ibsen, Unamuno, Rilke, Kafka, Kassner,