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euxième Guerre mondiale, je ne la crois nullement
modifiée
. Je mentionnais à la fin du livre V, en particulier, l’éventualité d’
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d copie Thomas, mais il en fait ce qu’il veut. Il
modifie
— et nous dressons l’oreille — trois moments décisifs de l’action :
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les trouve et telles qu’elles sont, quitte à les
modifier
par la suite. Or à partir du xiie siècle, les métaphores courantes s
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aines », dont les premiers balbutiements ont déjà
modifié
d’une manière perceptible la conscience de l’Occident. Enfin, certain
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ues-uns furent cathares. Si leur croyance n’a pas
modifié
leur lyrique, ne serait-ce pas qu’il n’y avait nul besoin de la modif
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ne serait-ce pas qu’il n’y avait nul besoin de la
modifier
pour qu’elle convînt à cette croyance, tant elle lui était congéniale
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ge. Pour la suite du poème, j’ai repris et un peu
modifié
la traduction d’Alfred Jeanroy. 229. « Mort m’a et per mort li respo