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ue l’exemple de la Suisse cesse de nous servir de
modèle
, du moins transposable tel quel du régime des cantons à celui des Éta
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e manière vague et généralement passive, faute de
modèles
ou de maquettes proposés à la critique ou à l’enthousiasme. 8. L’exis
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ir idéalement une Europe unitaire, unifiée sur le
modèle
élargi aux dimensions continentales de nos États-nations centralisés,
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le reste de l’Europe des nations unitaires sur le
modèle
français, promises aux guerres nationalistes et coloniales, seule la
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e confédérale : il n’hésite pas à les proposer en
modèle
pour l’édification de l’Europe. Selon lui, la « nationalité suisse po
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réer dans la première décennie du xixe siècle le
modèle
de l’État-nation, bientôt imité dans toute l’Europe monarchique autan
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du monde. Qu’est-ce en somme que l’État-nation de
modèle
napoléonien ? C’est le résultat d’une volonté abstraite, peut-être fo
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économiques, sous l’hégémonie d’une seule ethnie.
Modèle
monstrueux, si l’on y réfléchit, mais c’est précisément ce que l’on n
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çais — la France, une fois de plus, va fournir le
modèle
! — sont en train d’élaborer une théorie qui me paraît mieux adaptée
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oncevoir une Europe des régions, proviennent du «
modèle
» que l’École (aux trois degrés) a imposé depuis un siècle au moins.
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(et dont le « territoire » d’un chien fournit le
modèle
) correspond à quelque chose de fondamental chez l’homme néolithique (
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sion « Faut-il vous faire un dessin ? » évoque le
modèle
même de toute explication propre à convaincre le pire des imbéciles d
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ibertés civiques. Elle ne serait à aucun titre un
modèle
neuf de relations humaines et de structure du pouvoir. Elle ne représ
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alisme va plus loin, et conçoit d’autres types et
modèles
. Essayons de les approcher en tenant compte des résistances décrites
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cher très bas. On les regroupera alors suivant un
modèle
pyramidal, mais sans s’arrêter aux frontières du Québec ou même au ni
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plus ou moins nationalisé ou une nation étatisée,
modèle
: la France, bientôt imitée par presque toute l’Europe — et au xxe s
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, une structure de relations bipolaires dont le «
modèle
» nous est connu : c’est celui qu’ont élaboré les fondateurs de la ph
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entale vers l’approfondissement et l’expansion du
modèle
des contraires en tension créatrice, nous le trouvons dans le christi
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donc une société et une politique. De même que le
modèle
trinitaire des conciles sera utilisé par Kepler dans ses spéculations
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e principale de la méthode marxienne — de même le
modèle
de la co-existence des deux natures « sans confusion ni séparation »
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orpuscules, mais aussi de vraies ondes…). ⁂ Notre
modèle
de pensée fédéraliste ainsi posé à la clé de l’histoire européenne, i
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se, plaçons une conception de l’homme analogue au
modèle
bipolaire posé par le concile de Chalcédoine. La personne humaine, no
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n Noël et Jean Fourastié, demandant d’abord si le
modèle
suisse est si facilement transposable aux régions françaises ; ensuit