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le style s’ordonne à sa fin et non plus à de bons
modèles
. Et qu’il rappelle à la situation, au lieu de rappeler des sources. Q
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. C’est la préférence accordée par principe aux «
modèles
» de transformation ou de conservation culturelle et politique extrae
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s contre ce qui l’a précédé (Malraux), contre les
modèles
admirés de sa jeunesse, contre la tradition dans laquelle, par cet ac
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décentralisée et fédérative », qui prendrait ses
modèles
, plutôt que « du pouvoir centralisé de la France absolutiste », de «
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ne cesserai de dresser cette image comme celle du
modèle
directeur de la vraie tradition européenne, la seule qui puisse nous
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Bien plus, le tiers-monde reprend à son compte le
modèle
« d’une économie industrielle incapable de maîtriser la pollution et
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cher à le vendre et encore moins à l’imposer — un
modèle
de fédération fondé sur les régions autogérées, donc sur la participa
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tianisme et de son anthropologie, c’est-à-dire du
modèle
de la personne. À l’anthropologie évangélique, paulinienne et concili
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it. Et ce fut la deuxième personne qui fournit le
modèle
de la personne humaine. Elle était la coexistence en un seul être de
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’esprit, à la fois immanent et transcendant, le «
modèle
», dirions-nous, de la deuxième personne de la Trinité. Ce modèle chr
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s-nous, de la deuxième personne de la Trinité. Ce
modèle
christologique, antinomique, de la personne humaine, sera mis en form
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récente des trois pays qui ont forgé les premiers
modèles
de l’État-nation, c’est-à-dire de la mainmise d’un État central et ce
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ope n’aura proposé une meilleure approximation du
modèle
fédéraliste intégral. Reste le cas décisif des régions transfrontaliè
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ive d’explication économiste ou réductionniste de
modèle
marxiste. Il n’est pas né de quelque stade spécifique de l’économie,
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et qu’elle doit au monde de lui montrer un autre
modèle
de civilisation que celui de la croissance industrielle conduisant à
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nagement. Et que l’Europe seule peut en offrir le
modèle
, si d’abord elle parvient à le vivre. Autrement, on ne la croira pas.
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qu’il n’a plus au-dedans. » Napoléon achèvera ce
modèle
, né de la guerre et dessiné pour les besoins de la mobilisation la pl
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tion dans un avenir et dans un espace donnés d’un
modèle
déduit d’aujourd’hui si ce n’est d’hier. Mais Toynbee a très bien mon
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profondes analogies avec le jacobinisme, premier
modèle
bien français du fascisme, ou comme il dit : « d’un fascisme aux coul
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mission spécifique, qui est d’offrir au monde un
modèle
d’ordre : « Chacun, sans renoncer à ses espérances, doit contribuer à
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(qui a échoué en 1954) ou mieux, la création d’un
modèle
neuf : défense classique plus défense civile avec renonciation expres
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it à la défense des ressources inépuisables. » Le
modèle
de société génialement bâclé par Bonaparte en vue de la guerre et de
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on et des moyens de communication. Ainsi, dans le
modèle
jacobin, Paris devient le centre nerveux d’où part « le coup électriq
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t des prises de conscience inquiétantes. Certains
modèles
de dépassement de l’État-nation et de la souveraineté nationale absol
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aux d’une part, fédéralistes de l’autre. Valeurs,
modèles
et comportements à la fois impliqués par chacun des systèmes comme co
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colloques qu’il vaut la peine d’organiser sur le
modèle
de celui-ci. Ce qui me paraît justifier, ou au moins excuser, ou simp