1 tout humanisme paraît enclin : celle de créer un modèle de l’homme. Peut-être a-t-il existé un modèle gréco-latin, un canon d

2 un modèle de l’homme. Peut-être a-t-il existé un modèle gréco-latin, un canon de l’âme aussi bien que du corps. Il est possib

3 n, depuis toujours : il le nomme péché.) Tous les modèles que l’homme se propose ont ceci d’insuffisant : qu’ils peuvent être a

4 res ressemblent à ces peintres sous les traits du modèle . Cet air de famille qu’ont tous les personnages peints par Rembrandt,

5 l. Lui-même ne s’est jamais comparé qu’aux grands modèles apostoliques : à saint Paul, à Luther, mais pour se condamner. Il aff

6 comme le Père et moi sommes un », qui établit le modèle même de l’union dans la distinction des personnes ? Posons ces questi

7 posé aux élites occidentalisées du tiers-monde un modèle totalement étranger à toutes leurs traditions, le modèle de l’État-na

8 totalement étranger à toutes leurs traditions, le modèle de l’État-nation napoléonien — et que ce soit en version capitaliste

9 toxines qu’elle a répandues, et peut élaborer un modèle politique qui soit tentant pour le tiers-monde. Quant à savoir si le

10 État-nation, moins d’un siècle pour en imposer le modèle à toute l’Europe, et trente ans pour le propager au monde entier. Mai