1 1947, Doctrine fabuleuse. Deuxième dialogue sur la carte postale. La beauté physique
1 us devez voir que cette réalité n’est pas quelque modèle académique ni un canon universel… Le peintre. Je vois : ce n’est pas
2 elle se résout en résignation. Le sujet cède, se modèle peu à peu à l’objet qu’il a choisi par hasard, par nécessité ou par a
2 1947, Doctrine fabuleuse. Troisième dialogue sur la carte postale. L’homme sans ressemblance
3 ité, des cartes postales en couleurs montrant les modèles mêmes du commun. Vous voyez le risque que je cours ! L’agent. Tous c
4 rende un homme à la fois distingué et conforme au modèle admis. Encore ne suis-je pas sûr du second point. Car la conformité a
5 s sûr du second point. Car la conformité aux bons modèles relève plutôt de la correction. Mais la politesse véritable relève de
6 faillirait très certainement s’il recourait à un modèle déjà connu, fût-ce le plus grand. L’agent. Je vois que vous êtes un
3 1947, Doctrine fabuleuse. Quatrième dialogue sur la carte postale. Ars prophetica, ou. D’un langage qui ne veut pas être clair
7 ots. Ainsi les lois formulées par la science, ces modèles d’expression claire, se réfèrent en réalité à des formes courantes du