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ables ? Comment peuvent-ils nous présenter tel un
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de chevalerie ce Tristan qui a trompé son roi par les ruses les plus
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stantielle. Mais seulement une communion, dont le
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est dans le mariage de l’Église et de son Seigneur. Cela suppose une
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ne des xie et xiie siècles avait pu fournir des
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: tout compte fait, cela ne se tient pas, car les troubadours, paraît
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ux rives de la mer civilisatrice, naquit le grand
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occidental du langage de l’amour-passion. 10.Vue d’ensemble du phé
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la dernière génération expliciteront ce que leurs
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avaient chanté. « Ce n’est plus de l’amour courtois, si on le matéria
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es choix, Gottfried révèle beaucoup mieux que ses
modèles
l’importance proprement religieuse du mythe dualiste de Tristan. Mais
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ique ; qu’il redécouvre leur nécessité ; qu’il se
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spontanément à la ressemblance du « sublime » qu’elles ont su rendre
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pique et romanesque de la France du Nord comme le
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universel de toute prose narrative, et Brunetto Latini extrait de Tri
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s qui finit beaucoup plus mal — se rapprochant du
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primitif — l’on arrive à Jean-Paul, à Hölderlin, à Novalis. Dans la p
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taille. La fameuse « pièce à trois personnages »,
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de presque tous les auteurs dramatiques de la Belle Époque, c’est sim
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et des amours d’une pureté angélique à servir de
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aux races futures ! (On dirait que Rimbaud a lu cela…) Je ne prends p
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ar nouer des alliances fédérales, dont le premier
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est le mariage. Passion et inceste Dans son ouvrage sur la Proh