1 e société à la fois locale et universelle, sur le modèle de la culture européenne. Cette culture en laquelle coexistent des s

2 », ou de « Liberté et justice », des limites d’un modèle formel ou de l’hérédité des connaissances acquises… Et j’ai noté que

3 res du concile de Chalcédoine ont posé le premier modèle permettant de penser ensemble des réalités antinomiques, qui s’exclue

4 ndé l’anthropologie chrétienne, mais il a posé le modèle de la pensée spécifiquement européenne, la grande idée de l’antagonis

5 c’est aussi, au plan de la théorie politique, le modèle du fédéralisme, c’est-à-dire de la coexistence en perpétuelle interac

6 cette formule. Elle est devenue autre chose qu’un modèle , qu’une structure. Aux notions grecques d’individu, d’autonomie, et d

7 III. Venise : colloque sur le fédéralisme, modèle de l’Europe Sur les instances d’Alexandre Marc, en mars dernier, j’

8 se — du 10 au 13 octobre — sur Le Fédéralisme, un modèle pour l’Europe. Mon livre terminé, pensais-je alors, la vie s’ouvrirai

9 olitiques, donc plus difficilement conforme à son modèle . On nous l’a présenté sous des formes optimistes et pessimistes, grad

10 le, tenait pour un exécutif collégial, inspiré du modèle suisse (et j’avais les meilleures raisons de me retrouver dans l’une

11 sciences physiques et naturelles, l’invention de modèles nouveaux et de méthodes présentées comme révolutionnaires est la cond

12 fait que le plus ancien d’entre eux, qui est leur modèle , a moins de deux siècles d’âge ; et l’on voit bien que leur « période

13 temps. Le thème central de l’analyse critique du modèle de l’État-nation, qui conduit nombre de penseurs contemporains à le r

14 ethnique, la région dont je tente d’esquisser le modèle naîtrait de la nécessité de recréer des cadres de participation au se

15 ein effort de développement, et qui ont adopté le modèle d’État-nation qui leur était livré dans le même paquet que la technol