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littérature romanesque décrit depuis cent ans nos
mœurs
et nos malheurs avec une croissante application à la stupidité, j’ent
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oles, la tentation de copier nos voisins dans les
mœurs
politiques et dans la presse, tout cela menace et compromet non seule
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a camarade Zetkin, le chef décrit ce désastre des
mœurs
, et il proteste avec toute l’énergie d’un « révolutionnaire professio
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sion.) Vingt ans plus tard, le « redressement des
mœurs
» s’est opéré, non par quelque sursaut vertueux, non par l’initiative
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pour première tâche de surmonter cette crise des
mœurs
. On commença par opposer à l’idéal antisocial de « bonheur » et de «