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ous sommes déjà plus ou moins hitlérisés dans nos
mœurs
et dans nos pensées. Mais cela n’excuse pas Hitler. Loin de là ! Cela
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g, à d’innombrables documentaires publiés sur les
mœurs
totalitaires. Notre incrédulité bourgeoise a été l’une des meilleures
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préféré par le diable à ces milieux bohèmes et de
mœurs
relâchées qui se croiraient volontiers damnés. C’est, je crois, parce
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s, dont les économistes se sont mis à étudier les
mœurs
étranges, plus mystérieuses que celles des monstres antédiluviens, do
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mêmes principes dont s’autorise l’anarchie de nos
mœurs
privées. Toutefois les partisans du romantisme maintiendront que l’am
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t. L’importance démesurée de « l’amour » dans nos
mœurs
, moins comme réalité que comme arrière-pensée, allusion perpétuelle e
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ant une pruderie morbide du langage et des bonnes
mœurs
, est certes pour beaucoup dans la crise sexuelle dont souffre toute l
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gulier accord : les opinions supercélestes et les
mœurs
souterraines. » S’il y a quelque chose de démoniaque dans la femme, c
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me mal placé. Tous ces facteurs ont créé dans nos
mœurs
un malaise fondamental. Une espèce de révolte sourde anime la femme c
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sa « grande stratégie » dans la confusion de nos
mœurs
. À nous l’effort, à Dieu l’issue et le jugement. Si nous perdons tout
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les claires, — bref : tout ce qui caractérise les
mœurs
politiciennes de nos pseudo-démocraties, et les goûts de leur « grand