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r, qui a marqué et marque encore profondément les
mœurs
suisses. Il ne s’agissait nullement, à cette époque, d’établir une ég
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la place publique, décrivaient les terres et les
mœurs
étrangères, et apprenaient à leurs enfants des chansons du régiment.
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t les débats des Grands Conseils. L’influence des
mœurs
politiques latines, l’éloquence, le sectarisme des partis, ne se mani
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la langue, la culture, la race, la religion, les
mœurs
, le droit, l’économie, le parti politique au pouvoir. En Suisse au co
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exercent une forte pression conservatrice sur les
mœurs
. Les lois cantonales, si elles rendent la séparation facile, supposen
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de cette histoire ; et moins d’une similitude de
mœurs
que de l’empreinte laissée par les leçons d’instruction civique, qui