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a vie quotidienne, qui élève l’âme et adoucit les
mœurs
, — bref, qui ressemble à s’y méprendre à l’idée que la plupart de nos
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peut donc affirmer que dans l’état présent de nos
mœurs
occidentales, dans l’atmosphère morale où baignent l’immense majorité
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doublement erronée, au regard de l’historien des
mœurs
. Car primo, si « la vie est ainsi », c’est qu’à partir du xiie siècl
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ient » jamais à rien, surtout dans le domaine des
mœurs
. Et si par impossible la société moderne donnait les apparences d’un
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e déjà un troubadour. Or l’évolution générale des
mœurs
, dans les pays où elle se produit librement « tourne à la réalité »,
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iennent, et elle ne manquera pas d’influencer les
mœurs
. Car la romance, thème littéraire par excellence (la paix du couple é
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r il semble que nous entrions dans une période de
mœurs
sexuelles faciles ou relâchées, comparables à celles de la première m
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ptèrent cette doctrine et l’accommodèrent à leurs
mœurs
. Je me bornerai ici à trois exemples de dissociations nécessaires. 1.