1 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe de Tristan
1 istiques d’un archétype dont on n’a pu trouver la moindre trace1. Un autre aspect mythique de la légende de Tristan, c’est l’él
2 it du plus fort, elles le divinisent même sans le moindre scrupule ; et surtout s’il s’agit du droit d’un homme sur une femme :
2 1939, L’Amour et l’Occident. Les origines religieuses du mythe
3 tend pas « solliciter » les textes, fût-ce par le moindre essai de les comprendre. Je ne saurais me contenter, pour ma part, d’
4 n fut l’idée platonicienne ? Dans sa chanson « Du moindre tiers d’Amour », celui des femmes — Guiraut de Calanson dit des deux
5 xactement cette coutume, sans faire d’ailleurs la moindre allusion à son origine sacrée. Tous ces faits rendent vraisemblable l
3 1939, L’Amour et l’Occident. Passion et mystique
6 è authentique. Non seulement son Agapè n’a pas le moindre trait commun avec l’éros platonicien ou plotinien, mais encore elle f
4 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe dans la littérature
7 à lui seul convient… Tout le monde, et sur le moindre rocher que trempe la mer, sait qu’un homme a été superlativement amou
8 prenède, Gomberville et les Scudéry n’ont plus la moindre idée du sens ésotérique de la chevalerie légendaire. La nature symbol
9 érir sa haine Tant que j’aurai chez elle encor le moindre accès Mes desseins de guérir n’auront point de succès. Ces « dessein
10 tu soit plus mise au jour que dans celle-ci ; les moindres fautes y sont sévèrement punies : la seule pensée du crime y est rega
11 n ambitieux pourra détruire à son aise et sans le moindre scrupule les ennemis qui nuisent à ses projets de grandeur ? Des lois
5 1939, L’Amour et l’Occident. Amour et guerre
12 oriaux et financiers… La passion n’y joue plus le moindre rôle. L’amour lui-même, d’ailleurs, va devenir une tactique. Il perd