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istiques d’un archétype dont on n’a pu trouver la
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trace2. Un autre aspect mythique de la légende de Tristan, c’est l’él
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it du plus fort, elles le divinisent même sans le
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scrupule ; et surtout s’il s’agit du droit d’un homme sur une femme :
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tend pas « solliciter » les textes, fût-ce par le
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essai de les comprendre. Je ne saurais me contenter, pour ma part, d’
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en fut l’idée platonicienne ? Dans sa chanson Du
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tiers d’Amour — celui des femmes — Guiraut de Calanson dit des deux a
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Roi, celui-ci se trouvant d’ailleurs réduit à sa
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puissance d’action réelle, tout en demeurant l’enjeu final et le pers
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xactement cette coutume, sans faire d’ailleurs la
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allusion à son origine sacrée. Tous ces faits rendent vraisemblable l
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que et dualiste. Il n’y a pas place, ici, pour le
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hasard, ni pour cette suspension des conclusions que certains érudits
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è authentique. Non seulement son Agapè n’a pas le
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trait commun avec l’Éros platonicien ou plotinien, mais encore elle f
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à lui seul convient… « Tout le monde, et sur le
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rocher que trempe la mer, sait qu’un homme a été superlativement amou
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prenède, Gomberville et les Scudéry n’ont plus la
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idée du sens ésotérique de la chevalerie légendaire. La nature symbol
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rir sa haine, Tant que j’aurai chez elle encor le
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accès Mes desseins de guérir n’auront point de succès. Ces « dessein
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tu soit plus mise au jour que dans celle-ci ; les
moindres
fautes y sont sévèrement punies : la seule pensée du crime y est rega
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n ambitieux pourra détruire à son aise et sans le
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scrupule les ennemis qui nuisent à ses projets de grandeur ? Des lois
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oriaux et financiers… La passion n’y joue plus le
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rôle. L’amour lui-même, d’ailleurs, va devenir une tactique. Il perd