1 1978, Cadmos, articles (1978–1986). La chronique européenne de Denis de Rougemont (hiver 1978)
1 n avais donné au Nouvel Observateur qui, quelques mois auparavant, affichait dans Paris : « L’Avenir est votre affaire », po
2 1979, Cadmos, articles (1978–1986). La chronique européenne de Denis de Rougemont (printemps 1979)
2 c. jusqu’à « la Normandie aux Anglais ». Quelques mois plus tard, au printemps de 1969, contre l’avis de ses conseillers, de
3 1979, Cadmos, articles (1978–1986). L’Europe comme invention de la culture (automne 1979)
3 mment quelques-unes des miennes par Malraux, deux mois plus tard, à la Sorbonne sous les auspices de l’Unesco). Mais à part
4 ution est retenue. Nous discuterons pendant trois mois à Paris, à Genève, à Royaumont, à Londres, finalement à La Haye, à la
4 1981, Cadmos, articles (1978–1986). Un falsificateur vu de près (été 1981)
5 rouge, Paris, 1967. 66. Il s’agit d’un « Air du mois  » intitulé « Une page d’histoire » (en réalité d’une page d’histoire-
5 1985, Cadmos, articles (1978–1986). Trente-cinq ans d’attentes déçues, mais d’espoir invaincu : le Conseil de l’Europe (été 1985)
6 festé pour l’union des Européens. Durant les neuf mois qui suivirent, une délégation formée des responsables du Mouvement eu
7 Tous les fédéralistes présents à Strasbourg en ce mois de novembre 1950, et beaucoup de jeunes, mais aussi des représentants
8 ’Assemblée consultative du Conseil de l’Europe Au mois d’août dernier, nous étions trois-cents à Wissembourg et nous avons b
9 e culturel de Delphes, en examina les données, au mois de mai 1980, sur la base d’un texte que l’on m’avait demandé de prépa
6 1986, Cadmos, articles (1978–1986). Denis de Rougemont tel qu’en lui-même… [Entretien] (printemps 1986)
10 ctuelle ? Je recommence à travailler, après trois mois au moins d’interruption involontaire due à une série de maladies. Ce
11 ière femme et deux enfants qui avaient 5 ans et 5 mois ). Cela a été toute une odyssée que d’arriver en Amérique en cargo, en
12 nationales de Genève », et m’offrait de passer un mois en Suisse. C’était vraiment un « godsend » comme on dit en anglais :
13 . Je suis arrivé à Paris où j’ai passé un premier mois à voir un peu ce qu’était devenue l’Europe après ces années d’occupat
14 re deux ou trois pays, et qui durerait un ou deux mois , aboutirait à la fin de toute vie sur terre, ne serait-ce que par l’a
15 us faire : pourriez-vous céder votre tour de deux mois , car je viens de recevoir un manuscrit d’un jeune colonel français. I
16 que je m’y suis mis. J’ai écrit ce livre en trois mois , un gros livre de 380 pages. Vraiment dans un état de transe, car cel
17 eu à débrouiller mes idées là-dessus, et en trois mois j’ai bouclé le livre qui a paru en 1939, quelques mois avant la guerr
18 j’ai bouclé le livre qui a paru en 1939, quelques mois avant la guerre. La société d’aujourd’hui n’est pas à tort nommée « s
19 bliger à m’en occuper encore pendant au moins six mois pour mettre sur pied quelque chose de plus ambitieux que notre Centre
20 crite, mais elle a été souvent citée ces derniers mois  : « Si c’était à recommencer, je commencerais par la culture. » Voilà