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onclusions d’une conférence prononcée à Genève au
mois
de mai 1938, sous les auspices de Zofingue et de l’Association chréti
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en janvier de cette année, et cela fait déjà cinq
mois
passés. Ce délai nous permet de comprendre, d’avouer nos fautes et ce
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; et de la Suisse, telle que nous la voyons en ce
mois
de juillet de 1940. Ce ne sera pas une conférence bien bâtie, je tien
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ie, j’imagine qu’elle pourrait garder pendant des
mois
, peut-être des années, un grand espoir et une grande fierté, parce qu