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Préface à une littérature, qu’on a pu lire ici le
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dernier. Ah ! nous sommes loin — (avec ces auteurs-là) — de ceux qui
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me dès le principe. (Ce que nous écrivions ici le
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dernier.) C’est ici tout le problème que pose ce livre, et qu’il lais
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es dans l’esprit du lecteur philosophe. Déjà huit
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que nous sommes ici, et combien de fois ne sommes-nous pas entrés dan
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ale, que l’on verra se préciser ou se ramifier de
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en mois, nous avons réuni d’ores et déjà un certain nombre de textes
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l’on verra se préciser ou se ramifier de mois en
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, nous avons réuni d’ores et déjà un certain nombre de textes qui para
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n’apporte rien. On ne peut pas recommencer chaque
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le procès d’une littérature qui se vante d’être « insignifiante » — c
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e prétexte. Une immense littérature paraît chaque
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sur la « crise du mariage ». Mais je doute fort qu’il en résulte aucu
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ou de commerce qui changent au moins tous les six
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. Supposons, comme il est probable, qu’il se fixe enfin sur un type, c
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le vieux routier n’avait su le faire en plusieurs
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. Les Anglais ont ce proverbe : « Ne changez pas de chevaux au milieu
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nser à l’Algérie ». J’avais dit pour ma part deux
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plus tôt, et vous me citez : « Quand Sartre écrit Europe il ne pense