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depuis deux ans ; enfin je l’ai rédigé en quatre
mois
. Ceci me rappelle le mot de Vernet, à propos d’un tableau qu’il venda
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rameau dans l’eau profonde, on le retrouve trois
mois
après « garni d’une infinité de diamants mobiles et éblouissants ». T
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. Pendant une année entière, tous les premiers du
mois
, un chevalier anonyme viendra déployer, devant la fontaine, une tente
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e prétexte. Une immense littérature paraît chaque
mois
sur la « crise du mariage ». Mais je doute fort qu’il en résulte aucu
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ou de commerce qui changent au moins tous les six
mois
. Supposons, comme il est probable, qu’il se fixe enfin sur un type, c
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endresse qu’il lui avait portée d’abord. Après un
mois
, il revient à elle, proteste de ne pas s’être épris ailleurs, et de n