1 1947, Vivre en Amérique. Prologue. Sentiment de l’Amérique
1 , en Italie, en Allemagne et en France : quelques mois et j’étais acclimaté. J’oubliais que le pays n’était pas le mien. C’é
2 et, je suis sûre qu’il comprendra très bien… » Un mois plus tard, Jim et Joe boivent ensemble à la santé du couple réuni. Il
2 1947, Vivre en Amérique. Vie politique
3 si provisoires (elles durent de trois ans à trois mois ) ; et de statut si variable (allant du rang de ministère non régulier
4 e armée de 10 millions d’hommes.) Eh quoi ! Trois mois déjà que nous sommes libérés, et ils infestent encore nos bars !… C’e
3 1947, Vivre en Amérique. Vie culturelle et religieuse
5 celle que l’on vit interrompre pendant plusieurs mois la production de la General Motors, vous trouverez tous les jours les
6 eul. Un livre qui ne s’est pas vendu dans les six mois disparaît simplement du marché, et ne sera plus réimprimé. Quant aux
4 1947, Vivre en Amérique. Vie privée
7 lle, parue dans le respectable New York Times, au mois d’avril 1946, exprime avec un grain d’humour l’attitude de la jeune A
5 1947, Vivre en Amérique. Conseil à un Français pour vivre en Amérique
8 z. Faute de quoi, elle vous renverra dans les six mois . C’est « entre ou sors ». Mais elle est aussi un pays en défense cont
9 tes policières sur vous et vos parrains. Quelques mois plus tard, avec de la patience, de l’impatience, une bonne volonté pa
10 lon les prévisions établies pour les six ou douze mois à venir. Le Français juge de la valeur d’une œuvre par référence aux
11 vertige qui s’empare des Européens après quelques mois d’Amérique, précisons : de grande ville américaine. Les mesures ont c
12 le vieux routier n’avait su le faire en plusieurs mois . Les Anglais ont ce proverbe : « Ne changez pas de chevaux au milieu
13 avions, toutes les places y sont prises plusieurs mois à l’avance, et l’on ne vous permettra d’y emporter que 30 kilos de ba