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depuis deux ans ; enfin je l’ai rédigé en quatre
mois
. Ceci me rappelle le mot de Vernet, à propos d’un tableau qu’il venda
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r la « femme dévote » pendant les quatre premiers
mois
, comme un domestique, dormir dans la même chambre qu’elle, puis à ses
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bre qu’elle, puis à ses pieds. Pendant les quatre
mois
suivants et tout en continuant à la servir comme avant, il dort dans
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e même lit, du côté gauche. Pendant encore quatre
mois
, il dormira du côté droit, après ils dormiront enlacés, etc. Tous ces
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rameau dans l’eau profonde, on le retrouve trois
mois
après « garni d’une infinité de diamants mobiles et éblouissants ». T
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. Pendant une année entière, tous les premiers du
mois
, un chevalier anonyme viendra déployer, devant la fontaine, une tente
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e prétexte. Une immense littérature paraît chaque
mois
sur la « crise du mariage ». Mais je doute fort qu’il en résulte aucu
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endresse qu’il lui avait portée d’abord. Après un
mois
, il revient à elle, proteste de ne pas s’être épris ailleurs, et de n
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scientifico-polémique Ce livre écrit en peu de
mois
à 32 ans n’a pas fini de me poser des questions. Trente-deux ans plus
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’ai tout le temps, j’écris très vite. Après trois
mois
vécus dans un état de transe et d’allégresse quotidienne de découvrir
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écrasante défaite à Héraclée, et après plusieurs
mois
de captivité à la cour de Tancrède et chez les Sarrasins, rentre à Po
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es poètes rencontrés au Proche-Orient pendant ses
mois
de captivité, puis en Espagne, aux cours d’Aragon ou de Castille, che
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ard. Le livre de Charles de Gaulle parut quelques
mois
plus tard, en juin 1938 : il n’était plus temps de construire l’armée