1 1938, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). La vraie défense contre l’esprit totalitaire (juillet 1938)
1 ré et lui en fit de vifs reproches à ses derniers moments . Mon oncle en fut affligé, et pour mourir en paix, il dit à l’archevê
2 1940, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). La bataille de la culture (janvier-février 1940)
2 disons : les intellectuels auraient dû faire à ce moment -là un formidable effort de mise en ordre : ils auraient dû être saisi
3 ndes firmes et des grands partis politiques. À ce moment se produit fatalement ce que j’appellerai un sentiment de vide social
3 1940, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). L’Église et la Suisse (août 1940)
4 d’abord dans une langue frappante les différents moments du drame du salut. Elle crée le cadre et l’atmosphère spirituelle, el
4 1950, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). Europe unie et neutralité suisse (novembre-décembre 1950)
5 n du conflit. Si la Suisse avait pris parti, à ce moment -là, elle se fût déchirée en deux : une partie tenant pour la France,
5 1968, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). Pour une morale de la vocation (1968)
6 s tirez mal », dit-il avec une douceur froide, au moment même où je me félicitais d’avoir encore marqué un point, loin du noir
7 e deuxième dans la tige même de la première. À ce moment , l’initiation a réussi). Partant de cette expérience, et des maximes
8 c.). La notion de péché n’apparaît qu’à partir du moment où se trouve posée la question de nos fins dernières. Elle est liée à
9 advienne que pourra, comme dans un saut… Dans ces moments , le But a dicté ses moyens. Il ne les a pas seulement justifiés, il l