1 1933, Esprit, articles (1932–1962). Protestants (mars 1933)
1 r le régime. L’exemple de l’Allemagne est pour le moment le plus frappant, mais tout porte à croire que l’Amérique, demain, l’
2 1934, Esprit, articles (1932–1962). Définition de la personne (décembre 1934)
2 t, l’angoisse devient joie de combattre. C’est le moment de la présence de l’homme au monde et à soi-même conjointement. Et c’
3 1935, Esprit, articles (1932–1962). « L’Esprit n’a pas son palais » (octobre 1935)
3 P.-S. Ceci fut écrit en mai de cette année ; à ce moment j’ignorais tout du « congrès pour la défense de la culture », qui se
4 1936, Esprit, articles (1932–1962). Culture et commune mesure (novembre 1936)
4 a misère61. Et cela suffit à le justifier pour le moment . La misère, dernier argument, dernier fondement de la communauté mode
5 1937, Esprit, articles (1932–1962). Paul Vaillant-Couturier, Au service de l’Esprit (février 1937)
5 volonté française de paix. — Le communisme est un moment de la France éternelle. — Nous continuons la France, la France génére
6 1937, Esprit, articles (1932–1962). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (juin 1937)
6 nt à ce « complexe de castration » qui se noue au moment précis où l’agressivité normale de la personne se retourne contre ell
7 ncore : « Ils sont les plus forts. » Tel est le «  moment  » de l’angoisse de ce temps. L’homme sain dit : « Voilà ce que je fer
7 1939, Esprit, articles (1932–1962). Autour de L’Amour et l’Occident (septembre 1939)
8 e comme certains romantiques, mais bien plutôt le moment décisif. Par exemple, l’histoire n’a pour moi d’autre sens que d’illu
8 1946, Esprit, articles (1932–1962). Épilogue (novembre 1946)
9 ment improvisée, puisqu’il a reçu ses pouvoirs au moment même où il devait en faire un usage maximum, de toute urgence. Ainsi