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u désespoir. Elle ne désigne en réalité qu’un des
moments
de la dialectique du désespoir : le moment décisif, l’acte. Elle n’a
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n des moments de la dialectique du désespoir : le
moment
décisif, l’acte. Elle n’a de sens, pour nous, que parce qu’il y a la
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nt sans défenses humaines. Nous avons aussi, à ce
moment
, à montrer que les rôles se renversent dès qu’on regarde l’homme dans
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uoi l’on refuse toutes les autres solutions. À ce
moment
précis, intervient la critique barthienne. Nous disons « la critique
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des êtres, si ce savoir n’est pas pour moi, à tel
moment
, un ordre ou une tentation. Quand cesserons-nous d’agiter des problèm
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qui nous sépare l’un de l’autre. Et c’est au seul
moment
où je t’atteins en toi, où tu m’atteins en moi, que nous devenons deu
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16, 17). C’est Dieu lui-même qui agit en lui à ce
moment
, qui lui fait faire le « pas », le saut du temps de la prophétie au t
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. Or, le ton de cette soirée avait été jusqu’à ce
moment
des plus polis, peut-être même trop poli. Je ne sais trop pourquoi j’
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mmes tous des Nicodèmes ! et jamais plus qu’en ce
moment
où nous condamnons Nicodème… Voilà pourquoi Nicodème n’est pas mort :
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ne espèce d’importance. Dieu fait pour nous, à ce
moment
, ce que Nicodème et tous les hommes reconnaissent qu’ils ne peuvent p