1 1947, Doctrine fabuleuse. Orientation
1 nd trésor de formes dynamiques d’où remontent aux moments décisifs, quand nous sommes comme on dit remis en jeu, les archétypes
2 1947, Doctrine fabuleuse. Deuxième dialogue sur la carte postale. La beauté physique
2 a vôtre, en aucune manière… Le peintre, après un moment de réflexion. Difficile, à vrai dire. Ne pensez-vous pas que chacun a
3 1947, Doctrine fabuleuse. Quatrième dialogue sur la carte postale. Ars prophetica, ou. D’un langage qui ne veut pas être clair
3 Mais, si je marche cependant, c’est qu’à certains moments j’ai vu le but. J’ai cru le voir… C’est une vision illuminante, insta
4 1947, Doctrine fabuleuse. Miroirs, ou Comment on perd Eurydice et soi-même
4 e une sorte de rire au coin de sa bouche dans les moments de pire découragement ; et beaucoup d’autres hiatus de ce genre, qui
5 1947, Doctrine fabuleuse. L’ombre perdue
5 d’un corps sains après l’amour ? Durant quelques moments , l’homme éprouve une sensation de vide, de légèreté et en même temps
6 1947, Doctrine fabuleuse. Angérone
6 lques rythmes de phrases où l’indicible jette par moments une espèce d’émotion ou de gêne, non qu’il soit dit ni même décrit pa
7 egard absolu de l’angoisse. Si l’un s’écarte à ce moment , les voici vacillants comme hors d’eux-mêmes. Alors il lui saisit la
7 1947, Doctrine fabuleuse. Contribution à l’étude du coup de foudre
8  ». « Un vrai drame du destin ! » fis-je après un moment . Le type même du Schicksalsdrama, comme vous dites… Mais le destin a
8 1947, Doctrine fabuleuse. Don Juan
9 a volupté du vrai sensuel commence au-delà de ces moments que Don Juan fuit à peine atteints. Faudra-t-il se résoudre à soumett
9 1947, Doctrine fabuleuse. La fin du monde
10 u de paille8 ? « Qu’il voudrait subsister dans ce moment du choix qu’on lui impose maintenant, bien plus violent qu’il n’a jam