1 sme, et ainsi de suite ; le point d’équilibre, ou moment civique, ou personnalisme, étant réalisé au moment où les libertés et

2 t responsable parce qu’il est libre : ce sont des moments très brefs, qui sont un idéal, mais qui apparaissent à certaines péri

3 une sorte d’uniformité extérieure. À partir de ce moment , il n’y a plus d’université à proprement parler, il n’y a plus que de

4 ient alors de plus en plus symbolique. C’est à ce moment que se situe le début de la crise de l’empire, les nations vont en pr

5 iaux, politiques et scientifiques. À partir de ce moment -là va se développer, dans la société européenne, une dissociation tou

6 omme cette culture est un assemblage complexe. Un moment important est celui des grands conciles dont les débats inaugurent un

7 gel à un syllogisme : chaque nation incarne, à un moment de l’histoire, une mission dominante, or, c’est l’État qui seul peut

8 royaume. » Je date la naissance des nations de ce moment précis, au début du xive siècle. Le roi de France se considère comme

9 mais aussi les questions religieuses : c’est à ce moment qu’on voit paraître cette phrase fameuse (surtout dans l’Allemagne lu

10 -Empire romain de nations germaniques. À certains moments , il y avait pensé, il a fait quelques confidences à cet égard, mais t

11 as encore remplacées par de nouvelles. Donc, à ce moment -là, les provinces auraient peut-être pu résister, se séparer, mais ne

12 ’est la fête du mouvement unitaire français. À ce moment -là, « fédéralisme » est pris dans un sens favorable, mais erroné. Et

13 . Il est très difficile de l’arrêter à un certain moment , sinon on devient une espèce d’hégémonie (aujourd’hui, on dirait État

14 numéro un de tout fédéralisme. 14 janvier 1972 Le moment révolutionnaire du christianisme n’est qu’un aspect de l’influence de

15 s. 18 février 1966 L’Occident, dans les meilleurs moments de sa tradition intellectuelle, ne cesse d’en appeler à ce qu’on a ap

16 té occidentale. Très concrètement, à partir de ce moment -là, la formule de la nouvelle communauté humaine va être donnée non p

17 relation. C’est donc ici ce que j’appellerai le moment théologique dans l’évolution occidentale, le moment de l’histoire où

18 ment théologique dans l’évolution occidentale, le moment de l’histoire où réellement tout a dépendu de quelques définitions th

19 eurs propres lois, librement consenties. Un autre moment important dans l’évolution occidentale est d’origine théologique : c’

20 ant les risques de sa vocation individuelle. À ce moment -là, il s’offre à la tyrannie, qui peut être celle de la mode, celle d

21 Hobbes, revêt la personne du Léviathan, et dès ce moment -là, il est souverain et tous les hommes deviennent ses sujets. Il ne

22 uil dans l’évolution de la nation, elle marque ce moment de crise où le sacré se déplace d’un seul coup, visiblement. Il n’est

23 de l’ordre du clergé. Le tiers état seul, dès ce moment -là, représentait la nation, la volonté générale. C’est dans ce sens q

24 ans ce sens qu’il pouvait être l’État. C’est à ce moment qu’on voit se préciser la définition de la nation non pas comme commu

25 ir (force de police) sans oublier que, à certains moments , même le préfet de police, s’il perd l’autorité, ou s’il cesse d’être

26 ble avoir été plus près de se réaliser à certains moments , parce que c’est aussi beaucoup plus facile : il joue davantage sur c