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tation : — Vous avez gagné, c’est admirable, ah !
mon Dieu
, je vous remercie, Monsieur… Il saisit son journal. Il en parcourait
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la souffrance, ce que c’est que ma vie, ma mort.
Mon Dieu
, il n’y a plus qu’un glissement gris, sans fin… Il faudrait que je do
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romantiques ». — Citez-m’en de ces phénomènes ! —
Mon Dieu
, que dire… Il y aurait, par exemple, ce fait du triomphe de la Machin
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exte du mystique Heinrich Suso : Mon Seigneur et
mon Dieu
, ôte de moi tout ce qui m’éloigne de toi ! Mon Seigneur et mon Dieu
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tout ce qui m’éloigne de toi ! Mon Seigneur et
mon Dieu
, donne-moi tout ce qui me rapproche de toi ! Mon Seigneur et mon Di
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ut ce qui me rapproche de toi ! Mon Seigneur et
mon Dieu
, arrache-moi à moi-même et donne-moi tout entier à toi seul ! Il n’e
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umis à une semblable épreuve ce cri : « Pourquoi,
mon Dieu
, m’as-tu fait contraire à toi-même, pourquoi suis-je devenu à charge
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ite… avec Dieu seul… Dorothée (faiblement). —
Mon Dieu
! Nicolas. — Longtemps, chère femme, j’ai lutté contre moi-même e
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éternelle De ton bonheur immolé. Dorothée. —
Mon Dieu
! Mon Dieu ! Oh ! je ne suis qu’une pauvre femme ! Comment pourrais-j
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e ton bonheur immolé. Dorothée. — Mon Dieu !
Mon Dieu
! Oh ! je ne suis qu’une pauvre femme ! Comment pourrais-je te compre
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is fois, des voix m’ont appelé ! Mais tu le vois,
mon Dieu
: tout mon amour, tous mes devoirs sont là, dans la maison de mes anc
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partir ? Ô si un signe, au moins, m’était donné !
Mon Dieu
, secours-moi, parle-moi, ne permets pas que je me perde en ces ténèbr
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r à bouche fermée.) Nicolas. — Mon Seigneur et
mon Dieu
, ôte de moi tout ce qui m’éloigne de toi ! Mon Seigneur et mon Dieu,
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oi tout ce qui m’éloigne de toi ! Mon Seigneur et
mon Dieu
, donne-moi tout ce qui me rapproche de toi ! Mon Seigneur et mon Dieu
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tout ce qui me rapproche de toi ! Mon Seigneur et
mon Dieu
, arrache-moi à moi-même, et donne-moi tout entier à toi seul ! Amen.
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endra. Nicolas (à genoux). — Mon Seigneur et
mon Dieu
, toi seul es notre force ! Toi seul es notre union, toi seul es notre
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! Ô Haimo ! j’ai tout quitté pour vivre seul avec
mon Dieu
, tout près du ciel. Et voici qu’il me faut maintenant quitter aussi m
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, armes fourbies, regards de haine, sans un mot !
Mon Dieu
! Mon Dieu ! Soutiens ton serviteur ! (Chant des Compagnons, en sour
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rbies, regards de haine, sans un mot ! Mon Dieu !
Mon Dieu
! Soutiens ton serviteur ! (Chant des Compagnons, en sourdine.) Ni
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Qu’elle vient donc vite ! — Combien je voudrais,
mon Dieu
, que la nuit ne finît pas, que mon ami pût rester près de moi, et que
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umis à une semblable épreuve ce cri : « Pourquoi,
mon Dieu
, m’as-tu fait contraire à toi-même, pourquoi suis-je devenu à charge
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Qu’elle vient donc vite ! — Combien je voudrais,
mon Dieu
, que la nuit ne finît pas, que mon ami pût rester près de moi, et que
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umis à une semblable épreuve ce cri : « Pourquoi,
mon Dieu
, m’as-tu fait contraire à toi-même, pourquoi suis-je devenu à charge
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lée assise) (après la lecture, chant spontané : «
Mon Dieu
, ta loi est sainte… mais si tu comptes nos iniquités, qui pourra subs
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est révélé tantôt en majesté, — toute la prière «
Mon Dieu
, ton serviteur » — tantôt par un lyrisme aérien, alpestre, cristallin
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Dame jamais vue, qu’on ne connaît pas encore : «
Mon Dieu
, quand pourrai-je seulement voir la bien-aimée, entendre le son de sa
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révélé, tantôt en majesté, comme dans la prière «
Mon Dieu
ton serviteur élève la voix dans les ténèbres », tantôt avec un lyris