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Deux philosophies, affirme-t-il, se disputent le
monde
. L’une vient de l’Orient, et insinue dans le monde romain les virus d
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onde. L’une vient de l’Orient, et insinue dans le
monde
romain les virus du christianisme, de la Réforme, de la Révolution et
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ien d’original dans cette conception simpliste du
monde
, qui n’est en rien différente de celle de l’Action française ; remarq
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ièrement, il abandonna le stade et rentra dans le
monde
où nous vivons tous. Écœuré du désordre général, il cherche des remèd
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ien volontiers qu’il n’est pas une opinion sur le
monde
à laquelle je ne préfère le monde ». Je préfère à la dogmatique de M.
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opinion sur le monde à laquelle je ne préfère le
monde
». Je préfère à la dogmatique de M. de Montherlant son admirable lyri
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nse axiome formulé par Hésiode et qui gouverna le
monde
ancien : La moitié est plus grande que le tout ». Le sport comme un a
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visages que je puis à peine reconnaître. Reste le
monde
, — les choses, les faits, la vie, comme ils disent. Je me suis abando
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e faiblesses4.) Et demain peut-être, agir dans le
monde
, si je m’en suis d’abord rendu digne. L’époque nous veut, comme elle
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existence que m’imposent mon corps et les lois du
monde
, et comment augmenter ma puissance de jouir, en même temps que ma pui
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du large !… Tiens, j’écoute le vent ; je pense au
monde
. Chant des horizons, images qui s’éclairent… Je vais écrire autre cho
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plus reposante. Cette imparfaite accoutumance au
monde
de sensations inconnues où nous étions baignés nous promettait pourta
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e.) Une atmosphère de triste volupté emplit notre
monde
à ce chant. L’odeur du fleuve est son parfum, le soleil rouge sa doul
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rmi la foule, lève les yeux, au plus beau ciel du
monde
. h. « Soir de Florence », La Semaine littéraire, Genève, n° 1715, 1
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t, la dispersion des efforts artistiques. Tout ce
monde
d’amateurs de découvertes, de snobs, de marchands de tableaux, de cri
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hands de tableaux, de critiques d’avant-garde, ce
monde
où tous les extrémismes sont prônés comme vertus cardinales, et qui f
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moins du fils d’un tel père. « Voilà le train du
monde
… » Je ne pense pas qu’il en faille gémir. Une certaine résistance est
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r. Ce garçon aux allures discrètes promène sur le
monde
des yeux de Japonais d’une ironie mélancolique et qui voient plus loi
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rès vrai que les notions réaliste et idéaliste du
monde
ne sont séparées que par un léger décalage dans la chronologie de nos
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fare militaire, ainsi je m’abandonne au rêve d’un
monde
que suscite en moi seul peut-être cette plainte heureuse des violons.
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e répondit-il, que seul vous venez d’atteindre au
monde
des êtres véritables. Nous nous rencontrons. Vous me voyez parce que
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lés… Je n’en suis pas fâché. » Il y avait peu de
monde
dans les rues. Des jeunes gens avec une femme à chaque bras, l’air de
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— Pour moi, dit Gérard, je situe l’amour dans un
monde
où la question fidélité ou inconstance ne se pose plus. Vous le savez
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choses — et c’est cela seul qui donna un sens au
monde
. — Mais je bavarde, je philosophe, et vous allez me dire que c’est tr
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ire que c’est trop facile pour un homme retiré du
monde
depuis si longtemps. Livrons-nous plutôt à une petite malice dont l’i
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avec quelque chose d’éternel. Tous les drames du
monde
ne sont que décors mouvants dans la lueur bariolée des sentiments, il
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; accepte d’attendre comme un enfant sage que le
monde
lui donne, en son temps, sa petite part. On lui a expliqué qu’il fall
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comme parle un de nos classiques. Repoussé par le
monde
parce qu’il n’est pas encore quelqu’un, Stéphane cherche à savoir ce
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e génie tourmente cet être faible, humilié par le
monde
. L’amour s’éloigne le premier, quand Hölderlin doit quitter la maison
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après un grand accès de fièvre… L’agrément de ce
monde
, je l’ai vécu. Les joies de la jeunesse, voilà si longtemps, si l
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chambre… Est-ce que tout cela existe dans le même
monde
? (Il est bon de poser parfois de ces grandes questions naïves.) Lui
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ut-il donc que l’un des deux soit absurde, de ces
mondes
à mes yeux soudain simultanés ?… Le tragique de la facilité, c’est q
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entr’ouvre le ciel, qu’il est bon qu’il y ait le
monde
… Mais que cette musique vulgaire, par quel hasard, donne l’accord qui
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mais ces hauts murs d’ombre et de vent autour du
monde
où nous vivons parquent les visages les sons brassent les lueurs des
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rofesseurs, journalistes, spécialistes de tout au
monde
; des jeunes gens qui ont fait leurs études à la Nouvelle Revue fran
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ou ivre, c’est-à-dire quand je suis dominé par le
monde
. Ils ont tous le même air absurde. Des fantômes d’une autre sorte, ce
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mplement une variation dans mes relations avec le
monde
. En quoi cette première question est assez indiscrète. II Il y aurai
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ons tout juste bonnes à évoquer la basse pègre du
monde
spirituel. Ce n’est pas en détraquant nos sens ou notre raison, ce n’
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mprenons à ce signe qu’il nous transporte dans un
monde
plus hautement organisé, c’est-à-dire plus réel. (L’absurdité des cho
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t un effort de création — car toute découverte du
monde
spirituel revêt pour nous, normalement, l’aspect d’une création. Il s