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et que tes bras autour de moi aux limites du
monde
nouent leur effroi je t’appelle à grande voix sans un son sans
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ition qui a fondé l’autorité de la France dans le
monde
moderne. Mais la démocratie l’a sabotée, ruinée et trahie. De la pers
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rlement avec des discours, mais bien en créant un
monde
où il apparaîtra sous son vrai jour, comme le conservatoire de la pol
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engagement personnel, quitte à se lamenter sur le
monde
tel qu’il va, — il faudrait dire : tel qu’on le laisse aller. Craigno
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e, il sait que sa doctrine n’a pas à expliquer le
monde
, mais à le transformer — seulement, il sait que cette transformation
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, mais non pas comme la subissant. Nous sommes au
monde
comme n’étant pas du monde ; dans le péché, mais comme ayant reçu la
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issant. Nous sommes au monde comme n’étant pas du
monde
; dans le péché, mais comme ayant reçu la promesse d’être sauvés de s
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t qualifier d’ascétisme la doctrine de la mort au
monde
et à soi-même, bien plus, qu’il la déclare antichrétienne ; cela ne p
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agments d’un Traité de la vision physionomique du
monde
) (mars 1935)n Ce que je voudrais dire ici est simple, fondamental,
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lle qui ne se manifeste ». C’est pourquoi dans le
monde
de la vision, il n’y a ni mensonge ni feintes ; rien qui se cache ou
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ole est l’objet de la théologie, la vision est le
monde
de la physionomie23. Je crois bien que le psychologue s’est introduit
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un seul acte et une seule réponse : « Lumière du
monde
, vous m’avez éclairé. Je vous ai vue, je vous ai aimée : car personne
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il y a le péché, et les abîmes du temps. Dans le
monde
de la mesure idéale, qui est le monde païen, le monde antique, le mon
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ps. Dans le monde de la mesure idéale, qui est le
monde
païen, le monde antique, le monde des philosophes, la forme pure est
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e de la mesure idéale, qui est le monde païen, le
monde
antique, le monde des philosophes, la forme pure est celle de l’idée
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ale, qui est le monde païen, le monde antique, le
monde
des philosophes, la forme pure est celle de l’idée platonicienne. Mai
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e est celle de l’idée platonicienne. Mais dans le
monde
de l’incarnation — le monde chrétien —, la forme pure est la parole q
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icienne. Mais dans le monde de l’incarnation — le
monde
chrétien —, la forme pure est la parole que chacun de nous a reçue, e
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avec la création. Mais nous tenons ici la clef du
monde
de l’incarnation, le secret de l’image physionomique de l’univers. Im
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qu’elle reste symbolique d’une certaine image du
monde
, dont elle ne saurait constituer le centre ni le fondement causal, ma
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Le principe dialectique qui sert de guide dans le
monde
physionomique est celui des correspondances, et non pas celui des « c
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appuyer son intuition concrète de la totalité du
monde
créé remonta, par Shaftesbury, jusqu’à Plotin et Platon, c’est-à-dire
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, jusqu’à Plotin et Platon, c’est-à-dire jusqu’au
monde
des Idées. C’était perdre de vue la réalité spécifique du monde de l’
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s. C’était perdre de vue la réalité spécifique du
monde
de l’Incarnation, où la philosophie de l’organique peut trouver ses m
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onomiste, des créatures. Mais nous vivons dans un
monde
sans mesures, sans barrières sociales, sans costumes, où les types ne
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à physiognomonie, pour désigner une conception du
monde
, ou plutôt une image du monde, dont l’étude du visage n’est qu’un par
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r une conception du monde, ou plutôt une image du
monde
, dont l’étude du visage n’est qu’un particulier, à vrai dire privilég
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agments d’un Traité de la vision physionomique du
monde
) », Hermès, Bruxelles-Paris, n° 4, mars 1935, p. 42-54. La première n
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ualités ». Non que cela nous paraisse le moins du
monde
nuisible au mouvement, mais nous croyons avoir, pour le moment, tout
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es s’occupent d’élargir la brèche, d’y appeler du
monde
et, comme le dit souvent Mounier, « d’épurer », d’enrichir si l’on ve