1 1932, Articles divers (1932-1935). « Mouvement », « La morte ou la nue », « Ainsi » (16 avril 1932)
1 et que tes bras autour de moi aux limites du monde nouent leur effroi je t’appelle à grande voix sans un son sans
2 1933, Articles divers (1932-1935). « La jeunesse française devant l’Allemagne » [Réponse à une enquête] (mai 1933)
2 ition qui a fondé l’autorité de la France dans le monde moderne. Mais la démocratie l’a sabotée, ruinée et trahie. De la pers
3 1933, Articles divers (1932-1935). Positions d’attaque pour l’ordre nouveau (décembre 1933)
3 rlement avec des discours, mais bien en créant un monde où il apparaîtra sous son vrai jour, comme le conservatoire de la pol
4 1934, Articles divers (1932-1935). La Révolution nécessaire, par Arnaud Dandieu et Robert Aron (juin 1934)
4 engagement personnel, quitte à se lamenter sur le monde tel qu’il va, — il faudrait dire : tel qu’on le laisse aller. Craigno
5 1934, Articles divers (1932-1935). Où sont les jeunes protestants ? Remarques sur le protestantisme et les doctrines politiques (juillet-août 1934)
5 e, il sait que sa doctrine n’a pas à expliquer le monde , mais à le transformer — seulement, il sait que cette transformation
6 , mais non pas comme la subissant. Nous sommes au monde comme n’étant pas du monde ; dans le péché, mais comme ayant reçu la
7 issant. Nous sommes au monde comme n’étant pas du monde  ; dans le péché, mais comme ayant reçu la promesse d’être sauvés de s
6 1934, Articles divers (1932-1935). Carl Koch, Søren Kierkegaard (1934)
8 t qualifier d’ascétisme la doctrine de la mort au monde et à soi-même, bien plus, qu’il la déclare antichrétienne ; cela ne p
7 1935, Articles divers (1932-1935). Mystère de la Vision (fragments d’un Traité de la vision physionomique du monde) (mars 1935)
9 agments d’un Traité de la vision physionomique du monde ) (mars 1935)n Ce que je voudrais dire ici est simple, fondamental,
10 lle qui ne se manifeste ». C’est pourquoi dans le monde de la vision, il n’y a ni mensonge ni feintes ; rien qui se cache ou
11 ole est l’objet de la théologie, la vision est le monde de la physionomie23. Je crois bien que le psychologue s’est introduit
12 un seul acte et une seule réponse : « Lumière du monde , vous m’avez éclairé. Je vous ai vue, je vous ai aimée : car personne
13 il y a le péché, et les abîmes du temps. Dans le monde de la mesure idéale, qui est le monde païen, le monde antique, le mon
14 ps. Dans le monde de la mesure idéale, qui est le monde païen, le monde antique, le monde des philosophes, la forme pure est
15 e de la mesure idéale, qui est le monde païen, le monde antique, le monde des philosophes, la forme pure est celle de l’idée
16 ale, qui est le monde païen, le monde antique, le monde des philosophes, la forme pure est celle de l’idée platonicienne. Mai
17 e est celle de l’idée platonicienne. Mais dans le monde de l’incarnation — le monde chrétien —, la forme pure est la parole q
18 icienne. Mais dans le monde de l’incarnation — le monde chrétien —, la forme pure est la parole que chacun de nous a reçue, e
19 avec la création. Mais nous tenons ici la clef du monde de l’incarnation, le secret de l’image physionomique de l’univers. Im
20 qu’elle reste symbolique d’une certaine image du monde , dont elle ne saurait constituer le centre ni le fondement causal, ma
21 Le principe dialectique qui sert de guide dans le monde physionomique est celui des correspondances, et non pas celui des « c
22 appuyer son intuition concrète de la totalité du monde créé remonta, par Shaftesbury, jusqu’à Plotin et Platon, c’est-à-dire
23 , jusqu’à Plotin et Platon, c’est-à-dire jusqu’au monde des Idées. C’était perdre de vue la réalité spécifique du monde de l’
24 s. C’était perdre de vue la réalité spécifique du monde de l’Incarnation, où la philosophie de l’organique peut trouver ses m
25 onomiste, des créatures. Mais nous vivons dans un monde sans mesures, sans barrières sociales, sans costumes, où les types ne
26 à physiognomonie, pour désigner une conception du monde , ou plutôt une image du monde, dont l’étude du visage n’est qu’un par
27 r une conception du monde, ou plutôt une image du monde , dont l’étude du visage n’est qu’un particulier, à vrai dire privilég
28 agments d’un Traité de la vision physionomique du monde ) », Hermès, Bruxelles-Paris, n° 4, mars 1935, p. 42-54. La première n
8 1935, Articles divers (1932-1935). Les autres et nous : I — Esprit (avril 1935)
29 ualités ». Non que cela nous paraisse le moins du monde nuisible au mouvement, mais nous croyons avoir, pour le moment, tout
30 es s’occupent d’élargir la brèche, d’y appeler du monde et, comme le dit souvent Mounier, « d’épurer », d’enrichir si l’on ve