1 rédacteurs de ce journal. Car je ne sache pas au monde un seul pays où le diable soit plus improbable, ou en tout cas mieux

2 militante. 3. À paraître chez Maspéro. 4. Le Monde diplomatique, n° 184, novembre 1977. 5. Le Nouvel Observateur, n° 6

3 manières d’aimer que se trouve aussi la racine de mondes politiques différents. J’ai d’ailleurs souvent insisté sur le princip

4 sorte un amour totalitaire : il est seul dans son monde , dans sa bulle. Pour moi, le couple est la première cellule de ce que

5 unique nous fait dépendre des pays producteurs du monde arabe et du Proche-Orient. Il y a, d’autre part, le phénomène Hitler.

6 t même purement fortuits (la localisation dans le monde arabe des principaux gisements pétrolifères). Ma conclusion — et c’es

7 peut-elle durer toujours et sans limites dans un monde fini ? Et encore : les États qui achètent des centrales nucléaires so

8 out n’est pas toujours comme dans le meilleur des mondes … Bien sûr que non ! Mais c’est souvent moins mal qu’ailleurs et l’on

9 et les rapports personnels que l’on sauvera notre monde d’une crise qui le mène tout droit à sa perte. Pour une fois, on nous

10 deux ou trois types seulement de voitures dans le monde , et non pas des centaines de modèles, qui ne sont que l’expression d’

11 t ? Et puis, encore une fois, nous vivons dans un monde aux ressources limitées : les métaux, eux aussi, s’épuisent. On parle

12 iboles d’impératifs économiques ou politiques. Le monde dans lequel nous vivons, c’est nous qui l’avons fait. Il faut oser pr

13 uyait aux enfers et voulait y rabattre le plus de monde possible. Il voulait des morts. Tel est le monde de l’État, de la ric

14 monde possible. Il voulait des morts. Tel est le monde de l’État, de la richesse, de la puissance anonyme et meurtrière… L’a

15 e, de la puissance anonyme et meurtrière… L’autre monde , c’est le monde de l’énergie solaire décentralisé, celui sur lequel r

16 ce anonyme et meurtrière… L’autre monde, c’est le monde de l’énergie solaire décentralisé, celui sur lequel règne Zeus. L’une

17 Il n’y a pas assez de matières premières dans le monde pour cela. Alors nous n’avons qu’une chose à faire, c’est de donner l

18 le crois pas. Il existe nombre d’esprits, dans le monde d’aujourd’hui, qui sont mus par les mêmes passions fondamentales que

19 ion unique qui le distingue de tout autre être au monde . Une vocation qu’il ne peut accomplir concrètement que dans la cité,

20 à 350 000 devant Pampelune. Aucune autre cause au monde n’est capable de réunir autant de gens. Spontanément, librement… Just

21 n voir clair. Ceux-là ont découvert la réalité du monde moderne, en particulier la vulnérabilité extrême de l’énorme industri

22 e le pouvons pas. La croissance indéfinie dans un monde fini est une aberration. Nous le savons désormais. Le club de Rome a

23 tié de toutes les sommes disponibles à travers le monde . Uniquement pour avoir un peu plus d’électricité. C’est suicidaire !

24 la a été démontré abondamment depuis à travers le monde . Ceux qui avaient des yeux pour voir et des oreilles pour entendre n’

25 Martin Luther : même si j’apprenais que la fin du monde est pour demain, je planterai quand même un petit pommier ! C’est une

26 Malville…Quelle cause peut faire bouger autant de monde  ? Tout se tient… Écologie – régions – Europe fédérée : même avenir. J

27 ls sont trop petits pour conduire les affaires du monde et ne se tirent d’affaire en Europe que ceux dont la dimension est à

28 à Ferney un observateur attentif mais distant du monde d’aujourd’hui. Nous avons trouvé un vigoureux contestataire de la soc

29 e peuvent être atteints que si les divers pays du monde acceptent de dépasser le dogme de la souveraineté absolue des États e

30 x européenne est la clé de la voûte de la paix du monde . En effet, dans l’espace d’une seule génération, l’Europe a été l’épi

31 souveraineté nationale, 3° « l’Europe une dans un monde uni ». Ces vues sont justes mais trop vastes, en ce sens que les moye

32 e économique de notre temps. Jamais l’histoire du monde n’aura connu un si puissant rassemblement d’hommes libres. Jamais la

33 ui sont celles de la communauté, afin d’ouvrir au monde la voie qu’il cherche, la voie des libertés organisées. Elle est de r

34 tes ses infidélités, l’Europe demeure aux yeux du monde le grand témoin. La conquête suprême de l’Europe s’appelle la dignité

35 n l’Europe joue son destin et celui de la paix du monde . Soit donc notoire à tous que nous, Européens, rassemblés pour donner

36 tifs de s’unir ? La situation de l’Europe dans le monde d’aujourd’hui est caractérisée par un contraste violent : Le tiers-mo

37 s « traditionnels » entre l’Europe et le reste du monde . Les besoins alimentaires du tiers-monde vont croître d’une manière i

38 . Le monopole américain quant à l’alimentation du monde sera comparable au monopole arabe quant au pétrole. Il ne sera pas fa

39 ion de ce que nous avons été les premiers dans le monde et pendant longtemps les seuls à nommer « le Progrès ». Le bonheur, l

40 ctifier les conceptions qu’elle a lancées dans le monde entier et que les communautés les plus traditionnelles adoptent ou su

41 ts de l’impérialisme nucléaire, cette division du monde ne peut conduire qu’à une guerre générale, qui pourrait très bien êtr

42 s pas —, la vocation de l’Europe est de donner au monde l’exemple d’une désescalade. Si les grands États sont responsables de

43 leur genèse par une réaction identique contre un monde brutal de massification, de gigantisme et d’alignements au cordeau, q

44 que le taux — pourra-t-elle se poursuivre dans un monde fini ? » L’un des adages de la scolastique médiévale disait : finitus

45 te proposition reste valable, assurément. Mais le monde moderne tout entier agit comme s’il n’y croyait pas. Voilà qui est gr

46 gênante » de toutes : « Quand vous aurez gagné le monde au prix de votre âme, que vous restera-t-il à aimer ? » q. « Questi

47 inéma qui bouleverse les imaginations (L’Amour du monde ), ou encore une avalanche (Derborence), ou enfin l’approche de la fin

48 he (Derborence), ou enfin l’approche de la fin du monde (Si le Soleil ne revenait pas, Les Signes parmi nous), sa réalisation

49 e curieux de tout, qui perçoit tous les bruits du monde du fond de sa retraite vaudoise. Maintenant, c’est l’époque qu’il int

50 is titres de ses essais décrivent en raccourci le monde ramuzien : Questions, Taille de l’homme t et Besoin de grandeur. ⁂ Po

51 corps entier, une main en close up… Mais dans ce monde de la vue, voici les signes — et ils annoncent la présence incroyable

52 passent… » Il y a eu cette approche de la fin du monde , cette condamnation de tout en bloc et d’un seul coup, cette mise en

53 hilosophes jusqu’ici n’ont fait qu’interpréter le monde , or il s’agit de le transformer ? Marx auteur de cette phrase, n’a tr

54  ? Marx auteur de cette phrase, n’a transformé le monde qu’à la mesure de ses moyens de philosophe, c’est-à-dire en l’interpr

55 au xxe siècle jusqu’au rang de deuxième Grand du monde . Tocqueville l’annonçait, en revanche, sur un ton de lucidité désabus

56 est réprimée dans l’État-nation. Pour changer le monde et, en premier lieu, l’Europe, Denis de Rougemont appelle à la respon

57 t pour qui veut comprendre les bouleversements du monde actuel), il explique pourquoi le fédéralisme européen évitera la cata

58 ation. Le système, hérité de Napoléon et légué au monde entier, meurt comme un monstre cancéreux qui se nourrit de sa propre

59 portant que toute communauté linguistique dans le monde soit assurée du droit à son identité, du droit de parler — et donc d’

60 ologiques et par des milliers de scientifiques du monde entier, les promoteurs du nucléaire, et leurs experts auprès des gouv

61 ture commune (1978)a L’Europe, qui a dominé le monde pendant des siècles, n’est pas le produit d’une terre assez ingrate,

62 évélation chrétienne se répand rapidement dans un monde où tout ce qui pense ne saurait le faire qu’en grec, j’entends en ter

63 utions. Or, au plan politique et social, c’est le monde romain qui existe seul en Occident et à ce moment. L’Église va donc s

64 taux de la conception européenne de l’homme et du monde , en définissant la personne et le dogme de l’Incarnation. Le concept

65 progrès linéaire du temps, allant des origines du monde jusqu’au Christ, puis de la mort du Christ au Jugement dernier. D’où

66 que, c’est Magellan qui a fait le premier tour du monde . Un dernier fait : la structure sociale et politique de l’Occident es

67 té des conceptions fondamentales de l’homme et du monde est beaucoup plus profonde et décisive que nous ne le pensons d’ordin

68 égalée de ses diversités et dans son ouverture au Monde . 1. Allemand, italien, rhéto-romanche (depuis 1938) sont les trois

69 de Dès l’aube de la philosophie qui définit le monde occidental, Héraclite, magistrat suprême de l’une des premières cités

70 prit. Le christianisme apporte alors un troisième monde de valeurs. À la morale de la mesure comme à celle de la raison utili

71 grand, de ce cap de l’Asie dont dépend le sort du monde . ae. « Un foyer de culture », 30 jours d’Europe, Paris, n° 246, ja

72 oliath, empereur et chef des armées, « Lumière du monde aryen », et signataire de contrats fabuleux avec les chefs d’État eur

73 raison très simple. C’est l’Europe qui a créé le monde que nous connaissons, en ce sens qu’en créant la première civilisatio

74 erre, loin d’être une sphère finie et que rien au monde ne pourra rendre plus grande qu’elle-même, pouvait au contraire être

75 oser promettre un développement indéfini dans ce monde fini. Or, on continue. Simplement, parce que le raisonnement de nos d

76 modèle industriel qui a été imité par le reste du monde nous conduit tous à l’impasse absolue, l’Europe se doit à nouveau de

77 pour longtemps, le monopole de l’alimentation du monde . Un monopole équivalent à celui des pays arabes pour le pétrole. Il s

78 que celui qu’elle a répandu, malgré elle, dans le monde entier. J’aime ce mot du Dr Schweitzer : « L’exemple n’est pas le mei

79 cent-soixante souverainetés absolues à travers le monde  ! Fatal, finalement, que cela ne conduise qu’à des guerres. Çà et là,

80 rd contre l’Europe. La population blanche dans le monde est en état de croissance nulle, voire déjà de croissance négative. M

81 e la plus faible. ⁂ La population blanche dans le monde est en état de croissance nulle, voire déjà de croissance négative. M

82 striel ; la destruction des forêts à 25 % dans le monde et du plancton des océans, qui fabriquent l’oxygène que nous respiron

83 siècle en siècle, ses rapports avec Dieu, avec le monde , avec l’État et la communauté. Toute notre histoire illustre ce débat

84 agissaient et que l’Europe commençait à s’unir le monde changeait, encore plus vite. Partout où l’une de nos nations se retir

85 ns peut-être, — l’Europe est mise en crise par le monde qu’elle a fait, qui est né de ses œuvres. Cette crise est de nature f

86 lle puisse exercer sa fonction spécifique dans le monde nouveau. Il faut qu’elle s’unisse pour que sa voix, demain, puisse se

87 mergées de la planète) : le cœur et le cerveau du monde moderne. C’est là qu’il faut chercher les vrais secrets de notre puis

88 pécificités continentales (Europe, Afrique noire, monde arabe, Inde brahmanique, Sud-Est asiatique bouddhiste, Indonésie, Chi

89 étendue des trois parties qui composent l’Ancien Monde  ; mais il faut avouer que dans sa petitesse, elle est la plus grande

90 , séminaires, groupes d’études et congrès dans le monde entier, ou résultent de leurs travaux. Tout cela ne serait encore que

91 nner à son peuple ce qu’il y avait de meilleur au monde  », c’est-à-dire la civilisation industrielle introduite à marche forc

92 it devenir la cinquième puissance industrielle du monde . Ce procédé péremptoire de civilisation a été ressenti comme un viol

93 nt, on comprend que le pape Jean Paul II, venu du monde communiste, ait voulu relever un double défi et tester la vitalité du

94 enfants, mais à l’âge de 50 ans, il se retira du monde dans un ermitage des Alpes, pour se donner à la prière et à la vie co

95 oncrets des besoins énergétiques (surtout dans le monde industrialisé, tant communiste que capitaliste) et des besoins alimen

96 lui-même (voir l’interview de M. Boiteux dans Le Monde du 24-01-1975) que le « tout électrique » a été mis là selon le vœu d

97 ale des consommateurs, dans toutes les parties du monde , c’est l’Information. C’est d’une information honnête donnée aux cons

98 cents pages intitulé La Vision physiognomique du monde que je n’ai jamais publié. J’étais censé livrer à ce moment-là à un

99 imites de tout processus de croissance dans notre monde matériel, qui est celui de la finitude. Le mérite historique du club

100 e, l’idéologie de la croissance indéfinie dans le monde fini étant reléguée du même coup au décrochez-moi-ça des utopies. La

101 rait dire à la nation : Marchons à la conquête du monde . Elle lui répondrait d’une voix unanime : Nous ne voulons pas de la c

102 x unanime : Nous ne voulons pas de la conquête du Monde . Mais il parlerait de l’indépendance nationale, de l’arrondissement d

103 en faisait simplement l’une des trois parties du monde , c’est-à-dire « l’héritage de Japhet », l’Asie étant l’héritage de Se

104 ports sociaux qui ont changé dans cette région du monde , au cours du dernier millénaire, sur un rythme si rapide et si ample

105 nationale absolue. « La tunique sans couture » du monde en paix sous « le divin Auguste monarque, et Paul nomma cet état très

106 ses origines culturelles, sur sa mission dans le monde , sur le dilemme où elle est prise entre sa vocation fédéraliste d’uni

107 l’histoire des congrès ; — tout au moins dans le monde des libertés « formelles », où les majorités ne dépassent pas 100 %.

108 rise actuelle de civilisation, et qu’elle doit au monde de lui montrer un autre modèle de civilisation que celui de la croiss

109 s voulu manifester aucune puissance au sens de ce Monde -ci, bien au contraire ! Reportons-nous aux tentations subies par Jésu

110 n’en avait pas et n’en devait pas avoir dans « ce monde  » — dont Satan est le Prince. ⁂ D’où vient alors l’appellation de « t

111 indiquerait qu’il s’agit d’une puissance dans le monde spirituel, non dans le monde des princes, empereurs ou présidents de

112 ne puissance dans le monde spirituel, non dans le monde des princes, empereurs ou présidents de la République sur la terre :

113 uissance de Dieu, évidemment totale, agit dans le monde de l’Esprit, dans la transcendance, non sur la terre en négation de l

114 EURATOM, et déjà nous nous entendions le mieux du monde sur le plan intellectuel, mais je le répète, ce qui m’a le mieux révé

115 e sens. Et c’est ce qu’il y a de plus précieux au monde . ar. « Lew Kowarski et la responsabilité sociale du scientifique »,

116 littérature française aux USA. Car désormais, le monde intellectuel français est littéralement fasciné par une école « scien

117 èrement anxieuses sur mes facultés de présence au monde culturel dans lequel je vis : au seuil de cet article, et supputant s

118 élévision. Le petit écran apporte le spectacle du monde à domicile — scandales, explosions, assassinats, records battus, et p

119 de Matthieu Galey, p. 48 et 49. 53. B. Dort, Le Monde , Paris, 17 janvier 1980. 54. M. Cournot, Le Monde, 27 janvier 1980.

120 onde, Paris, 17 janvier 1980. 54. M. Cournot, Le Monde , 27 janvier 1980. az. « Le bilan culturel de la décennie 1970-1980 »

121 80 », Das Theater, unser Welt = Le théâtre, notre monde , Luzern, Raeber Verlag, 1980, p. 40-46.

122 , lui mettrait-on en main les meilleures armes du monde . La défense d’un peuple, c’est d’abord, disons même surtout, sa volon

123 orteront sur ses importations. Or, à l’échelle du monde , il est clair que c’est impossible ! Votre livre appelle à la convers

124 ’homme industriel contribue à accélérer la fin du monde en augmentant l’entropie, le gaspillage et la dégradation de l’énergi

125 d’un refus général, je ne suppose pas le moins du monde qu’après concertation entre philosophes, scientifiques, industriels,

126 rition pour toutes les « défenses nationales » du monde . Je n’allonge pas. La cause est entendue, et plusieurs milliers d’ing

127 ues et chiffrables, elle nous fait entrer dans un monde où les ordinateurs, ayant « traité » nos problèmes, nous restitueront

128 tome i. 86. Comme par exemple Pierre Drouin, Le Monde , 12 novembre 1980 : dans certains secteurs — c’est le cas de l’électr

129 e, admiré par Goethe, Kant et Nietzsche. 91. Le Monde , 29 mars 1981. 92. Lausanne, mai 1980. bt. « Information n’est pas

130 e parle d’un refus, je ne suppose pas le moins du monde qu’après concertation entre philosophes, scientifiques, industriels,

131 apparition pour toutes les défenses nationales du monde . Je n’allonge pas. La cause est entendue et d’autres sont mieux placé

132 ues et chiffrables, elle nous fait entrer dans un monde où les ordinateurs, ayant « traité » nos problèmes, nous restitueront

133 tome I. 75. Comme par exemple Pierre Drouin, Le Monde , 12 novembre 1980 : « Dans certains secteurs — c’est le cas de l’élec

134 e, admiré par Goethe, Kant et Nietzsche. 80. Le Monde , 29 mars 1981. 81. Revue polytechnique, mai 1980. br. « Informatio

135 s mécanismes. Elle nous fait ainsi entrer dans un monde où les ordinateurs, ayant « traité » nos problèmes, nous restitueront

136 e mon point de vue sur l’informatique. 82. Le Monde , 29 mars 1981. 83. Revue polytechnique, mai 1980. bs. « L’informat

137 r et précédés du chapeau suivant : « Alors que le monde contemporain assiste émerveillé au développement très rapide de l’inf

138 l’Europe à venir. Que Neuchâtel soit le centre du monde ne souffre pas le moindre doute à mes yeux. L’Europe est en effet le

139 tiens pour désigner la réalité de l’homme dans un monde christianisé. Car cet homme est, lui aussi, à la fois autonome et en

140 ances ou à nourrir des volontés. 1. L’histoire du monde christianisé nous montre que les structures ecclésiastiques ont souve

141 actuellement concevables pour un ordre nouveau du monde . (La « religion de l’homme » que certains nous proposent est une cont

142 elques maximes de prospective (1981)bf Dans le monde universitaire européen, au cours de ces dernières décennies, Jacques

143 ional, la supériorité en armement d’une partie du monde sur l’autre, ni même l’élévation sans fin du PNB, objectif proprement

144 dont la technique n’est que l’outil. Car dans le monde où nous vivons, désormais tout est fait de main d’homme. Qu’il s’agis

145 s le rythme, dans la qualité même de nos vies. Ce monde humanisé ne change plus qu’au gré de nos désirs, donc de nos rêves. O

146 rs qu’il avait encore un pied à la Revue des Deux Mondes de M. Doumic, l’autre déjà chez Gallimard. Pour commencer, il se met

147 cations sont de l’ordre de cinq à dix ans dans le monde de la technologie où l’inertie pourtant est tellement inférieure à ce

148 est tellement inférieure à ce qu’elle est dans le monde social et politique… Autre facteur de la très lente pénétration des i

149 us allons nous retrouver le plus naturellement du monde en 1946 à Genève, lors des premières Rencontres internationales, puis

150 nous avions forgé dès 1931, et qu’aujourd’hui le monde emploie. Depuis les congrès de Montreux, La Haye, Rome et Lausanne, d

151 iétés industrielles : « Liberté ou chômage ? » Le monde occidental en est au point où il ne peut plus esquiver ces questions

152 arent d’innombrables colloques et congrès dans le monde entier, ou résultent de leurs travaux. Tout cela ne serait encore que